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Neil Young

Non Connecté diego86
Inscrit le : 01/03/14
Membre EP 45 t
42 messages
Posté le 24/05/15 à 15:41

cush a écrit :
(citation)


Euh... non, pas du tout

désolé que tu l'aies pris comme ça, au contraire c'est extrêmement pertinent, l'acétate étant une sorte de brouillon qui doit donner de rapides informations, il est logique que ce soit un monoface ...


Pas de soucis

L'Acetate c'est la transition entre la source de bande magnetique et le vinyle finalisé .

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 28/06/15 à 06:11
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Le nouveau Neil Young sort demain ! Pour l'instant uniquement en CD/DVD...
Il s'agit d'une charge écologique contre la firme Monsanto...
En écoute intégrale (pour l'instant) et infos supplémentaires sur les sites de FIP ou Télérama (les liens directs ne semblent pas fonctionner).

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 19/07/15 à 18:33
La sortie de la version vinyle de l'album "The Monsanto Years" est prévue pour le 14 août 2015 en version 2LP, au moins aux States et sans doute aussi en Europe...

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 22/08/15 à 19:02
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Neil Young + Promise Of The Real ‎– The Monsanto Years

La version vinyle est enfin sortie sous la forme d’un double album avec trois faces enregistrées. Un insert avec les paroles des chansons, line-up et renseignements utiles est également inclus. On regrettera tout de même le prix, même si la pochette est fabriquée avec du carton épais, quarante euros ça fait tout de même cher la galette (puisque le propos de l’album c’est une critique de la société basée sur la recherche exclusive des profits rapides et captifs, je commence dès maintenant)…

La pochette nous plonge directement au cœur du sujet, tout d’abord le titre « Les années Monsanto », comme si nous avions changé d’ère, sans même nous en rendre compte, insidieusement, comme par mégarde... Comme si tout le reste, ce qui fait les grands titres dans les journaux, n’était là que pour nous distraire de l’essentiel, nous cacher une autre vérité : nous avons basculé dans l’ère Monsanto…

La pochette, encore : à gauche, l’agriculture productiviste avec en vedette un avion qui répand sur les champs, les produits Monsanto, nés d’une hybridation qui engendre des monstres, graines fabriquées dans des labos en croisant les fruits de la nature avec des constructions moléculaires au service du capitalisme le plus outrancier, privilégiant la rentabilité et les profits en rendant captifs les agriculteurs pendant plusieurs générations. L’échelle de l’attaque est la planète, les premières victimes, les petits paysans. Préparez vos combinaisons et vos masques à gaz !

A droite de la pochette on peut reconnaître Neil en petit paysan, ami des papillons et des abeilles, dans un cadre traditionnel avec, dans la grange, à l’arrière, sans doute les deux fils de Willie Nelson, Lukas et Micah qui assurent derrière le « loner » avec le groupe Promise of the real.

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L'intérieur de la pochette avec la même dichotomie, Mosanto à gauche, l'agriculture traditionnelle côté droit.

Bon Dieu ! Et si le vieillard avait raison ? Du haut de ses 70 ans, n’est-il pas l’un des seuls à partir en croisade contre les corrupteurs du monde agricole, qui se servent dans le monde entier des ambassades des Etats-Unis comme de base avancée, pour acheter les appuis de personnages influents. Après avoir corrompu les pays d’Amérique du Sud, d’Afrique et d’Asie, éliminé les petits producteurs et favorisé les grandes multinationales, la France en Europe est l’une des seules nations à offrir encore une résistance… même si quelques grands producteurs céréaliers (particulièrement de maïs), proches de la FNSEA en France, ont déjà vendu leur âme au diable, d’autres, comme ceux de la Fédération Paysanne, continuent vaillamment la lutte. Et la moustache du petit gaulois José est bien connue des dirigeants de Monsanto, de Walmart ou de Starbucks…

« A new day for love » qui ouvre l’album est un titre assez bourrin, lent et lourd, les paroles sont assenés avec force : « C’est un mauvais jour pour ne rien faire/Avec tant de gens qui ont besoin d’aide ». Dès le second titre « Wolf moon » le ton change, une ballade tout en retenue et délicatesse qui contraste avec le titre précédent, Neil se livre, fragile, la voix est toujours là, même si elle ne grimpe plus aussi haut, moins audacieuse, le timbre si particulier chavire et touche.

Le très beau « People want to hear about love » nous envoie sur les rails de « Big Box » sans doute le meilleur titre de l’album, rageur comme autrefois, avec de bonnes guitares, même si on se prend à rêver au Crasy horse. Neil se déchaîne contre la société capitaliste « Dans les rues de la capitale les entreprises prennent le contrôle/ La démocratie s'écrase à leurs pieds/ L'argent tombe du ciel pour ceux qui les rejoignent. »

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Des coupures extraites de quelques journaux

« A Rock star Bucks A Coffee Shop” est à nouveau une charge contre Monsanto au travers de Starbucks qui produit des grains de café génétiquement modifiés : « Je veux une tasse de café mais je ne veux pas d’OGM / J’aime démarrer ma journée sans aider Monsanto ». Le titre reste bon mais l’ironie est portée par une partie sifflée, genre boyscout de retour le soir au bivouac, assez lourde d’autant qu’elle est répétitive.

Le titre « Mosanto Years » qui donne son nom à l’album renouvelle les attaques, particulièrement contre le roundup, le produit phare de la firme : « Quand ces graines germent, elles sont prêtes pour les pesticides/ Et le Roundup vient et apporte la vague de poison de Monsanto » (…) « Le fermier, pour vendre sa production, est poussé à l’utilisation d’OGM», « Qui sait quel avenir se profile pour les sols nourris par Monsanto ?». Une chose est certaine, les préoccupations écologiques de Neil Young sont anciennes et on ne peut l’accuser d’opportunisme. En s’attaquant à ce puissant adversaire il fait preuve de courage, songeons à certains de nos rappeurs en France qui se vendent à des multinationales, sans trop réfléchir. Même si, sur le dernier titre de l’album « If I Don’t Know » il s’interroge sur la puissance réelle de ses prises de position.

Si je ne sais pas ce que je fais
Et que toutes mes grandes idées échouent
Comme faire un barrage contre l'eau et tuer la rivière
Les veines, le sang de la Terre.

Et si je ne sais pas ce que je dis
Et que tous les rêves du monde se réalisent
Comme trouver du pétrole et injecter du poison dans le sol
Les veines, le sang de la Terre.

Et si la mélodie reste jolie
Et que les chansons ne sont pas trop longues
J'essaierai de trouver le moyen de te les rendre
Les veines, le sang de la Terre.


Un album de Neil Young ce n’est jamais un album comme les autres, il véhicule nécessairement une charge d’émotion liée au passé, à ces heures consacrées à écouter ce vieil ami. Alors celui-ci sans doute est-il particulièrement bien accueilli par le public et la critique, mais, même cela n’a pas tant d’importance. Ce qui compte c’est cette volonté, cette intégrité, ce message chanté aux générations plus jeunes, alors que le chemin qu’il reste à parcourir soit encore long et qu’il dure…
Neil Young est un rocker !



Une version live de Big Box



Wolf Moon extrait de l'album

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L'insert avec les paroles.


Non Connecté killerbee
Inscrit le : 16/07/11
Membre Disque d'Or
1427 messages
Posté le 23/08/15 à 20:09
Un article qui fait bien envie Petite anecdote au passage : la représentation de Neil Young en fermier s'inspire du célèbre tableau "American Gothic" de Grant Wood. A l'époque, le tableau avait rendu furieux les paysans de l'Iowa qui pensaient s'y reconnaître caricaturés en puritains coincés... Il paraît même qu'une fermière avait menacé le peintre de lui arracher l'oreille avec les dents Sur la pochette le monde paysan paraît plus épanoui!

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 24/08/15 à 09:27

killerbee a écrit :
Un article qui fait bien envie Petite anecdote au passage : la représentation de Neil Young en fermier s'inspire du célèbre tableau "American Gothic" de Grant Wood. A l'époque, le tableau avait rendu furieux les paysans de l'Iowa qui pensaient s'y reconnaître caricaturés en puritains coincés... Il paraît même qu'une fermière avait menacé le peintre de lui arracher l'oreille avec les dents Sur la pochette le monde paysan paraît plus épanoui!


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Bien vu Killerbee, l'inspiration ne fait aucun doute effectivement (austère, je me demande où est passée l'autre partie du manche de la fourche...).
Sur l'album précédent "Storytone" c'est Neil Young lui-même qui avait peint les aquarelles, ici il a fait appel à Micah Nelson. Il y a une constante sur les pochettes de Neil c'est la façon dont il est représenté, (quand il est représenté) toujours flou, mal foutu, mal cadré, tout petit, peu reconnaissable...
Par contre la pochette intérieure est très belle avec cette photo au grand angle et ces couleurs un peu irréalistes, ça rend super bien en taille réelle...

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 12/12/15 à 12:47
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Il doit bien avoir une petite quinzaine que ce coffret est à la maison, avec ses quatre albums et son maigre livret (il y a l'essentiel quand même). Allons directement au but: c'est un foutu bon coffret! On reste avec constance entre le bon et l'excellent, il y a ici largement de quoi contrecarrer les détracteurs du Loner...
Les extraits présentés proviennent de la tournée qui a précédé ou suivi la parution de "This Note's for you", un album un peu à part de Neil Young, qui a cependant une très bonne réputation. Bluenote Café, c'est à la fois le titre de cet album et le nom du groupe qui accompagne Neil, on y trouve une section de cuivre qui va faire la différence, ici on entend du blues, de la soul, des riffs de cuivres et de anches, l'ensemble est très funky, on glisse même parfois sur des accents un peu jazzy. Le groupe Bluenote Café sait aussi se faire discret, assurant grave derrière le loner, le son ici proposé tout au long de ces quatre albums est nouveau, mais il s'insinue avec sagacité dans le répertoire de Neil, sans le défigurer, comme sur cette reprise d'un "Tonight's the night" d'anthologie qui occupe la dernière face du coffret.
Pour ceux qui suivent la discographie de près, il s'agit du numéro 11 des "Archives - Performance Series".

Pour une fois un album de Neil est proposé à prix correct à sa sortie, un peu plus de 40€ pour 4 vinyles dans un coffret numéroté, c'est honnête, un beau cadeau de fin d'année sans aucun doute!

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Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 18/08/16 à 18:41
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Un petit post pour signaler la sortie en vinyle (triple album) du dernier Neil Young accompagné, comme sur le précédent, par le groupe "Promise of the real". Les préoccupations du Loner sont toujours là, par le titre de l'album et les thèmes abordés dans les chansons qui sont très souvent centrés sur l'écologie, mais aussi par l'intervention tout au long des six faces d'enregistrements provenant de la nature, des éléments ou des animaux.

70 printemps, c'est beaucoup diront les plus jeunes, pourtant cet album m'a scotché, il est des hommes sur lesquels le temps n'a pas de prise, toujours jeune et vaillant l’ancêtre! A part le premier titre que je trouve un peu niais le reste est formidable, en plus des titres repris sur "The Monsanto Years" on retrouve des versions live d'extraits d' "After the Gold Rush", de "Comes a Time"(« Human Highway »), "Sleeps With Angels"(« Western Hero ») et de "Landing On Water" (l'excellent « Hippie Dream »).

Les deux fils de Willie Nelson, un des meilleurs amis de Neil (son "frère" disait-il) ont pris la mesure de leur rôle et assurent vraiment bien au sein de "Promise of the real". Comme souvent chez Neil, l'album oscille entre country-rock et folie de guitares incendiaires, on a droit aussi au morceau long, une tuerie qui n'en finit pas... ici il faudra deux faces d'album pour contenir les 28 minutes de "Love and only love".

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Il est extrêmement rare qu'il y ait un portrait reconnaissable de Neil sur un de ses albums, il prend toujours un malin plaisir à se cacher dans le flou, le fondu, de dos, dissimulé...
Ici il nous regarde dans les yeux, droit, direct... pourquoi ?

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Non Connecté souche
Inscrit le : 10/03/11
Membre Disque Platine
1654 messages
Posté le 31/08/16 à 17:46

cush a écrit :
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Un petit post pour signaler la sortie en vinyle (triple album) du dernier Neil Young accompagné, comme sur le précédent, par le groupe "Promise of the real". Les préoccupations du Loner sont toujours là, par le titre de l'album et les thèmes abordés dans les chansons qui sont très souvent centrés sur l'écologie, mais aussi par l'intervention tout au long des six faces d'enregistrements provenant de la nature, des éléments ou des animaux.

70 printemps, c'est beaucoup diront les plus jeunes, pourtant cet album m'a scotché, il est des hommes sur lesquels le temps n'a pas de prise, toujours jeune et vaillant l’ancêtre! A part le premier titre que je trouve un peu niais le reste est formidable, en plus des titres repris sur "The Monsanto Years" on retrouve des versions live d'extraits d' "After the Gold Rush", de "Comes a Time"(« Human Highway »), "Sleeps With Angels"(« Western Hero ») et de "Landing On Water" (l'excellent « Hippie Dream »).

Les deux fils de Willie Nelson, un des meilleurs amis de Neil (son "frère" disait-il) ont pris la mesure de leur rôle et assurent vraiment bien au sein de "Promise of the real". Comme souvent chez Neil, l'album oscille entre country-rock et folie de guitares incendiaires, on a droit aussi au morceau long, une tuerie qui n'en finit pas... ici il faudra deux faces d'album pour contenir les 28 minutes de "Love and only love".



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Il est extrêmement rare qu'il y ait un portrait reconnaissable de Neil sur un de ses albums, il prend toujours un malin plaisir à se cacher dans le flou, le fondu, de dos, dissimulé...
Ici il nous regarde dans les yeux, droit, direct... pourquoi ?

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je viens t'acheter le triple album il est en écoute en ce moment et c'est vrai se prend plaisir à écouter en tout cas merci pour ta chronique j'ai craqué

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 01/09/16 à 20:27

souche a écrit :

je viens t'acheter le triple album il est en écoute en ce moment et c'est vrai se prend plaisir à écouter en tout cas merci pour ta chronique j'ai craqué


Heureux que tu sois passé par là souche, je pense que tu vas prendre un grand pied avec cet album, en tout cas moi je l'ai beaucoup apprécié!

Non Connecté souche
Inscrit le : 10/03/11
Membre Disque Platine
1654 messages
Posté le 02/09/16 à 13:12
c'est vrai je prends plaisir avec cet album
J'ai que 6 albums de Neil j'espère en trouver un ou deux supplémentaire à la foire aux disques à Metz dimanche.
En plus si tu peux me dire sur lesquels je devraient m'orienter

Sur les albums que je possède ma préférence va vers Time Fades Away Je ne serai pas dire pourquoi mais je me lasse pas de cet album ..

En tout cas j'ai toujours plaisir à te lire .
J'aimerai pouvoir comme toi transmettre par écrit mes émotions sur tel ou tel album mais c'est un exercice pas simple ...



Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 02/09/16 à 13:56

souche a écrit :
c'est vrai je prends plaisir avec cet album
J'ai que 6 albums de Neil j'espère en trouver un ou deux supplémentaire à la foire aux disques à Metz dimanche.
En plus si tu peux me dire sur lesquels je devraient m'orienter


J'en ai décortiqué quelques uns ici. Accompagné seul à la guitare le "Massey Hall 1971" est absolument indispensable. Dans les "archives" il y a aussi, avec le crazy Horse, le live "At Fillmore 1970". Ces deux albums sont relativement récents et indispensables.
Il y a aussi le "Mirror ball", le "chrome dream"...
A part la période Geffen, ça ne manque pas de bons albums!

Non Connecté stones72
Inscrit le : 18/04/15
Administrateur
4406 messages
Posté le 02/09/16 à 14:09
Le gimmick me rapelle quelque chose ... mais je ne m'en lasserai jamais !!!


Non Connecté souche
Inscrit le : 10/03/11
Membre Disque Platine
1654 messages
Posté le 02/09/16 à 17:14

cush a écrit :
(citation)


J'en ai décortiqué quelques uns ici. Accompagné seul à la guitare le "Massey Hall 1971" est absolument indispensable. Dans les "archives" il y a aussi, avec le crazy Horse, le live "At Fillmore 1970". Ces deux albums sont relativement récents et indispensables.
Il y a aussi le "Mirror ball", le "chrome dream"...
A part la période Geffen, ça ne manque pas de bons albums!



Merci il y plus cas

Non Connecté souche
Inscrit le : 10/03/11
Membre Disque Platine
1654 messages
Posté le 05/09/16 à 18:24
Pas trouver les Neil Youg préconisé je suis revenu juste avec re-ac-tor

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 05/09/16 à 18:30

souche a écrit :
Pas trouver les Neil Youg préconisé je suis revenu juste avec re-ac-tor


Bah c'est mieux que rien!

Tu peux te consoler en allant écouter cette excellente émission sur France Inter, l'épisode Neil Young est vraiment très intéressant: ici

Non Connecté souche
Inscrit le : 10/03/11
Membre Disque Platine
1654 messages
Posté le 05/09/16 à 19:22

cush a écrit :
(citation)


Bah c'est mieux que rien!

Tu peux te consoler en allant écouter cette excellente émission sur France Inter, l'épisode Neil Young est vraiment très intéressant: ici


Je vais écouter merci

Non Connecté jimi
Inscrit le : 24/05/14
Membre Disque Platine
1923 messages
Posté le 05/09/16 à 19:58

souche a écrit :
Pas trouver les Neil Youg préconisé je suis revenu juste avec re-ac-tor

Pour moi mauvaise pioche je l'ai mis dans mes échanges
l'un des moins bons albums du grand Neil Young

Non Connecté bartos80
Inscrit le : 21/05/12
Membre 33t
305 messages
Posté le 05/09/16 à 22:00

cush a écrit :
(citation)


Bah c'est mieux que rien!

Tu peux te consoler en allant écouter cette excellente émission sur France Inter, l'épisode Neil Young est vraiment très intéressant: ici


Salut,

Je confirme, l'émission de Michka Assayas est plus que passionnante, tous les épisodes d'ailleurs.
Une émission d'une heure sur Alan Vega par exemple, ça se fait rare.

-seb-

Non Connecté cush
Inscrit le : 18/02/11
Membre Disque Diamant
3225 messages
Posté le 06/09/16 à 11:59

bartos80 a écrit :

Salut,
Je confirme, l'émission de Michka Assayas est plus que passionnante, tous les épisodes d'ailleurs.
Une émission d'une heure sur Alan Vega par exemple, ça se fait rare.
-seb-


Je n'ai écouté en entier que l'épisode Neil Young, un petit côté Road movie avec cette interview en plusieurs étapes, très intéressante d'ailleurs, sur les deux: l'interviewer et l'interviewé. Même si on n'apprend pas grand chose sur le musique de neil, on en apprend sur lui, sa façon d'aborder les sujets, ses engagements sociétaux, sa forte personnalité, son fameux "Pono Player", un type qu'on aimerait rencontrer, sûr!

En ce moment j'en télécharge quelques unes, celles dont le titre me plaît... Pour l'instant j'ai parcouru, le choix des musiques est pertinent, je n'apprend pas énormément de choses mais l'ambiance, les textes, le sens des formules, les enchaînements tout cela est très prenant.
Comme beaucoup ici je pense, je connais Michka Assayas grâce à son dictionnaire du rock, que j'ai pas mal lu, faut dire... Pour la petite histoire il a fait ce dictionnaire (assez complet à sa sortie) en collaboration avec de bons spécialistes, mais il y a eu pas mal de problèmes pour la distributions des royalties concernant les "droits d'auteurs", certains n'ayant rien reçu. C'est la raison pour laquelle le dico n'a pas été réactualisé, ce qui est bien dommage!

Non Connecté bartos80
Inscrit le : 21/05/12
Membre 33t
305 messages
Posté le 06/09/16 à 13:17
Salut,

On dérive un peu mais qq'un sait ce que devient Bernard Lenoir?
Je rêve d'avoir ses émissions en podcast..

-seb-

Non Connecté lolivejazz
Inscrit le : 24/03/13
Membre Disque Diamant
3588 messages
Posté le 05/12/17 à 19:27
Je pense que tous les fans du Loner se sont jetés goulument sur l'immense cadeau qu'il vient de nous faire !

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L’intégralité de ses archives musicales, tous ses titres en solo, avec Buffalo Springfield, Crosby Stills Nash and Young, avec le Crazy Horse plus des inédits.
Le tout en haute définition !

Un extrait de sa lettre ouverte vidéo :
"Ces archives sont conçues pour être un document vivant, en constante évolution et incluant tout nouvel enregistrement et film au moment où il est fait. Le site n'est pas encore complet, car nous ajoutons encore beaucoup de détail aux plus vieux enregistrements".

Bref, nos nuits vont être trop courtes...

Non Connecté whynothing
Inscrit le : 31/03/15
Membre Double LP
537 messages
Posté le 05/12/17 à 21:34
Sacré cadeau de noël, Neil !

Non Connecté lolivejazz
Inscrit le : 24/03/13
Membre Disque Diamant
3588 messages
Posté le 08/03/23 à 12:28
Un peu de déterrage
Pour les fans, Neil Young va enfin publier ses bootlegs des années 1970 !
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