PROG...

Est-ce bien la première édition? Mon vinyle a un label mauve-violet, pas celui avec la voiture de course...

Groupe prog italien (clin d'oeil à notre ami pprog)

Guitariste et chanteur, membre de "If" de 1973 à 1976, puis de Procol Harum à partir de 1991... entre autres collaborations!

Amusant de sortir le disque de sa sous-pochette, et de surprendre une "vamp" qui se cache bien vite derrière sa serviette ;o)

Sortie originale : label Island, 1970. Autocollant pour le disquaire "Maillet, 5 rue Racine" à Nantes au dos de la pochette.

Merci à l'ami sudiste45 :o)

Compilation

Au milieu d'un bac de musique classique, ce disque à la pochette tout à coup inattendue... et aux titres pour le moins insolites : "ode aux rats", "la symphonie catastrophique", "armoire et persil"! Une découverte comme on les aime ;o) Rock progressif, tirant aussi vers le jazz-rock, le space-rock... Chant rappelant les imprécations de Peter Hammill.

3° album pour le groupe déjà, et le dernier pour Tony Kaye (claviers) qui arbore un joli plâtre sur la pochette... souvenir d'un accident de la route dont fut victime le groupe quelques temps auparavant...

Groupe constitué du couple Gaëlle et Silvio Usaï. L'album devait en principe donner suite à une comédie musicale. Le nom du groupe ne peut pas ne pas évoquer le mouvement raëlien... mais Silvio Usaï précise qu'il n'a "aucune relation" avec cette secte. Pour l'anecdote, le morceau "Oina" (face B) a quelque chose du fameux "Generation landslide" d'Alice Cooper.

"That's that" fait penser à Deep Purple. Une reprise de Rare Earth ("Get ready").

Très bon disque, comme son aîné, "SF Sorrow"... Avec des accents beatlesiens période Abbey road... sans doute la voix de Phil May, pas loin de celle de Lennon. Mention spéciale au poignant "sickle clowns", face B.

Reste encore le poster aux pyramides bleues... et manquent donc l'autre poster et les stickers. Deuxième édition, dans la même année (la première a pour référence SHVL 804 - d'après pinkfloydarchives.com )

Disque bien moyen, le groupe se copie un peu lui-même, je trouve. Ah, l'inspiration...

Est-ce bien la première édition? Mon vinyle a un label mauve-violet, pas celui avec la voiture de course...

Groupe prog italien (clin d'oeil à notre ami pprog)

Guitariste et chanteur, membre de "If" de 1973 à 1976, puis de Procol Harum à partir de 1991... entre autres collaborations!

Amusant de sortir le disque de sa sous-pochette, et de surprendre une "vamp" qui se cache bien vite derrière sa serviette ;o)

Pochette printed in USA (SD 18180), disque made in France K50261... quelqu'un les a mélangés?... acheté sur un vide-grenier en Bretagne, à Saint-Brévin...

Album qui s'ouvre sur une allusion aux "Méditations métaphysiques" de ce bon vieux Descartes : "I think, I think I am. Therefore I am, I think." ;o) C'est effectivement la seule idée qui peut résister au doute même le plus radical. Tout ce que nous percevons en ce moment même pourrait n'être qu'un rêve... comment le savoir? Ne pouvons-nous pas avoir lorsque nous rêvons les mêmes sensations que lorsque nous sommes éveillés? Existons-nous bien alors, ou ne sommes-nous qu'un rêve? Eh, mais pour rêver, il faut bien exister... au moins comme une "chose" qui pense... "Je pense, donc je suis, j'existe!" Il me manque la sous-pochette et le livret, et la pochette a subi quelques écorchures... :o(

Très bon disque, comme son aîné, "SF Sorrow"... Avec des accents beatlesiens période Abbey road... sans doute la voix de Phil May, pas loin de celle de Lennon. Mention spéciale au poignant "sickle clowns", face B.

Le morceau d'ouverture sent l'inspiration de Pink Floyd ("One of these days")...

A noter une chanson-hommage aux Beatles, "Titles", dont les paroles sont uniquement faites avec les titres les plus célèbres des "Fab' four".

Merci à samafar ;)

Pochette printed in USA (SD 18180), disque made in France K50261... quelqu'un les a mélangés?... acheté sur un vide-grenier en Bretagne, à Saint-Brévin...

Merci à samafar ;)

La pochette reprend une des gravures de la célèbre série du peintre Hogarth, "the rake's progress". Il s'agit de la scène de la taverne, ou de "l'orgie". Petite description : le Libertin (the rake) et ses compagnons sont à la Taverne de la Rose à Drury Lane : le libertin est complètement saoul et ne s'aperçoit pas qu'on lui vole sa montre. Au premier plan, une femme se déshabille et se prépare à s'exhiber sur le plateau qu'apporte un garçon. Derrière lui, une fille de mauvaise vie expulse un crachat, beurk... Dans le haut de l'image, on devrait voir une fille ivre, montée sur une chaise, qui essaie de mettre le feu à une carte du monde avec une chandelle. De même, au-dessus d'elle, on devrait voir des tableaux au mur, qui sont les portraits des empereurs romains par Titien, mais les têtes ont été découpées, à l'exception de celle de Néron, le plus dépravé de tous. L'image a été recadrée et coupée pour la pochette donc! Le libertin en est au même degré de dégénérescence que Néron, et son univers, ou son empire ne vont pas tarder à s'effondrer autour de lui. Détail amusant : Hogarth a été un des tous premiers à bénéficier du "copyright". Il a attendu pour publier ses gravures que le parlement anglais vote en 1735 une loi protégeant la propriété artistique (on parle même de "loi de Hogarth") ;o)

Pop progressive et symphonique, un peu trop sirupeuse par moments à mon goût. Sauf erreur, ce serait le fameux frère jumeau de Barry Ryan. Ils avaient commencé leur carrière en duo, avant que Paul décide de se contenter de composer (dont le fameux titre "Eloïse"), ne supportant pas bien la pression du métier d'artiste. Il est mort en 1992, à l'âge de 44 ans, atteint d'un cancer.

Avec la traduction des paroles en français sur le livret d'accompagnement.

Juste un prénom écrit en rouge au dos...

:o)

La référence sur les labels n'est pas la même que sur la pochette : 6333 500 et 6333 501. C'est donc la réédition de 1974.

Album qui s'ouvre sur une allusion aux "Méditations métaphysiques" de ce bon vieux Descartes : "I think, I think I am. Therefore I am, I think." ;o) C'est effectivement la seule idée qui peut résister au doute même le plus radical. Tout ce que nous percevons en ce moment même pourrait n'être qu'un rêve... comment le savoir? Ne pouvons-nous pas avoir lorsque nous rêvons les mêmes sensations que lorsque nous sommes éveillés? Existons-nous bien alors, ou ne sommes-nous qu'un rêve? Eh, mais pour rêver, il faut bien exister... au moins comme une "chose" qui pense... "Je pense, donc je suis, j'existe!" Il me manque la sous-pochette et le livret, et la pochette a subi quelques écorchures... :o(

Le morceau d'ouverture sent l'inspiration de Pink Floyd ("One of these days")...

A noter une chanson-hommage aux Beatles, "Titles", dont les paroles sont uniquement faites avec les titres les plus célèbres des "Fab' four".

Avec la traduction des paroles en français sur le livret d'accompagnement.

Juste un prénom écrit en rouge au dos...

:o)

La référence sur les labels n'est pas la même que sur la pochette : 6333 500 et 6333 501. C'est donc la réédition de 1974.

"That's that" fait penser à Deep Purple. Une reprise de Rare Earth ("Get ready").

Reste encore le poster aux pyramides bleues... et manquent donc l'autre poster et les stickers. Deuxième édition, dans la même année (la première a pour référence SHVL 804 - d'après pinkfloydarchives.com )

Disque bien moyen, le groupe se copie un peu lui-même, je trouve. Ah, l'inspiration...