DISCO-FUNK 70'- 80'

Chic est un groupe de disco et de funk américain fondé en 1976 par le guitariste Nile Rodgers et le bassiste Bernard Edwards. Le groupe Chic est surtout celui du bassiste Bernard Edwards et du guitariste Nile Rodgers, tous deux nés en 1952. Après des débuts dans un groupe de R'n'B, ils décident en 1976 de créer leur propre formation. D'abord sous le nom de "The Big Apple Band" avec Bobby Carter au chant en 19761, ensuite changé pour des raisons de propriété du nom (Walter Murphy and the Big Apple Band existait déjà) : Edwards trouve le nom, « Chic », et Rodgers écrit avec lui. Avec Tony Thompson (ex-batteur de Patti LaBelle) et la chanteuse Norma Jean Wright, ils enregistrent des maquettes qui seront refusées par de nombreuses compagnies avant d’être acceptées par Atlantic. Le premier succès commercial de Chic, le maxi Dance, dance, dance (Yowsah, yowsah, yowsah), contient les ingrédients qui feront la fortune du groupe : la basse et la batterie lourdes, la guitare sautillante, les violons rythmés, les voix sans passion… L’expression « Yowsah, yowsah, yowsah » fait référence aux marathons de danse des années 1920 auxquels participaient les Noirs. La chanson se retrouve naturellement sur le premier album du groupe, Chic, sorti le 22 novembre 1977.

Cant Get Enough est le troisième album américain autoproduit de R & B du chanteur Barry White , sorti en 1974.

Credits? Arranged By [Horn, Strings] – Erich Bulling (tracks: B4, C2), Tom Tom 84 (tracks: B1, B2, C3, D1,) Arranged By [Horn] – Jerry Hey (tracks: A1, A2 to A4, B3, D2, D3, C1) Arranged By [Strings] – David Foster (tracks: A1, A4, B3, C1, D1, D3), James Newton Howard (tracks: A2), Jerry Peters (tracks: C4) Art Direction, Design – Roger Carpenter (2) Bass – Verdine White Bells [Uncredited], Bells [Orchestra Bells, Uncredited] – Gary Coleman Cello – Albert Gill, Buell Neidlinger, Dennis Karmazyn, Earl Madison, Frederick Seykora, Jacqueline Lustgarten, Larry Corbett, Marston Smith, Louise Zeyen*, Miguel Martinez (2), Olivier Nils*, Nina Deveritch, Raymond Kelley*, Ronald Cooper Concertmaster – Assa Drori, Harris Goldman, Janice Gower Drums, Percussion – Fred White Engineer – Ernie Sheesley, Franklin Allen, Geoff Irons, George Morgan, Jeff Borgeson, John Silcott, Mark Touchy, Ray Gonzales, Reuben (2), Robert Wolstein, Ron Pendragon, Steve Jackson (2), Tchad Thompson, Wally Heider French Horn – Alan Robinson, Arthur Maebe*, George Price, Marilyn Robinson, Vincent DeRosa Guitar – Johnny Graham, Marlo Henderson, Steve Lukather Harp – Dorothy Jeanne Ashby* Illustration [Photo-light Illustration] – Kevin Lyman (2) Keyboards – David Foster, Garry Glenn Keyboards, Organ – Jerry Peters Lyrics By – Brenda Russell (2) (tracks: C1), Maurice White (tracks: A1, C1), Philip Bailey (tracks: A1) Mastered By – Michael Reese* Other [Casting] – Kathy Kowles Other [Exclusive Representation] – Cavallo-Ruffalo Management Percussion – Paulinho Da Costa, Ralph Johnson Photography By [Assistant] – C. Ness, Francie Moore Photography By [Inside Cover] – Bruce Talamon Photography By [Outside Cover, Poster] – Jim Shea Piano, Synthesizer, Programmed By [Synthesizers] – Larry Dunn Producer, Vocals, Drums, Kalimba – Maurice White Recorded By – George Massenburg Recorded By, Mixed By – George Massenburg, Ken Fowler Saxophone [Uncredited] – Jeff Clayton (3) Saxophone, Flute – Fred Jackson Jr.*, Lawrence Williams* Tenor Saxophone – Andrew Woolfolk Tenor Saxophone, Alto Saxophone, Baritone Saxophone – Don Myrick Trombone – William Reichenbach*, Fred Wesley, George Bohanon, Louis Satterfield Trumpet – Bobby Bryant, Chuck Findley, Gary E. Grant*, Jerry Hey, Michael Harris, Nolan Smith Jr.*, Oscar Brashear, Steve Madaio Trumpet, Flugelhorn – Rahmlee Michael Davis Tuba – John Johnson* Typography [Typographic Design] – Jim Wood (5) Viola – Allan Harshman, Barbara Thomason, Brenton Banks, Bryana Sherman, David Schwartz, Gareth Nuttycombe, Harry Hyams, Herschel Wise, James Ross*, Laury Woods, Leanna Sherman, Marilyn Baker, Patricia Matthews, Renita Koven, Roland Kato, Rollice Dale, Ronald Strauss* Violin – Arkady Shindelman, Barry Socher, Bernard Kundell, Don Palmer*, Endre Granat, Gina Kronstadt, Glenn Dicterow, Haim Shtrum, Harold Dicterow, Henry Ferber, Henry Roth, Irvin Giller, Isabelle Daskoff, Jack Gootkin, Janet Lakatos, Jerome Reisler, Jerome Webster, John Wittenburg*, Joseph Goodman, Joseph Shoenbrun, Joy Lyle, Karen Jones (2), Mari Tsumura Botnick*, Mark Cargill, Marvin Limonick, Mary Lundquist, Michael Markman, Michael Nowack*, Norman Carr, Pavel Farkas, Reginald Hill, Bobby Dubow*, Robert Jung (2), Robert Lipsett, Ron Clark, Ronald Folsom, Shari Zippert, Sheldon Sanov, Sid Page, Sidney Sharp, Vicky Sylvester, William Henderson (2), William Kurasch Vocals, Congas, Percussion – Philip Bailey Written-By – Al McKay (tracks: A1, A3, B2), Arlene Matza (tracks: D2), Brenda Russell (2) (tracks: A4), David Foster (tracks: A4), Eddie Del Barrio* (tracks: B1, C2), Fred White (tracks: A3), Garry Glenn (tracks: B3, C3, D1), Howard McCrary (tracks: D2), James Newton Howard (tracks: A2), Jean Hancock (tracks: C4), Jerry Peters (tracks: C4), Larry Dunn (tracks: A1, A3, C1, C3, D3), Maurice White (tracks: A1 to B3, C1 to C3, D1 to D3), Philip Bailey (tracks: A3, B1, B4, C2, D3,), Ralph Johnson (tracks: A1), Ross Vannelli (tracks: B4), Roxanne Seeman (tracks: C2), Valerie Carter (tracks: A2), Verdine White (tracks: A1, A3, C1, D3) Earth, Wind and Fire est un groupe de jazz-funk originaire de Chicago dans l'Illinois. Le groupe a été formé en 1969 à l'initiative de Maurice White. Sa plus notable particularité a été sa capacité à innover en introduisant et en mélangeant de façon savante et inédite des éléments issues des traditions musicales africaines, brésiliennes, cubaines et caribéennes à son funk caractérisé par une section de cuivre de grande qualité (les Phoenix Horns) et des arrangements empruntés aussi bien au jazz qu'à la musique symphonique. La musique d'Earth, Wind and Fire a d'ailleurs parfois été qualifiée de « Funk Symphonique ». Le groupe s'est également démarqué par la complémentarité de ses deux chanteurs Maurice White et Philip Bailey (dont les remarquables capacités vocales couvrent plusieurs octaves).

Sprits Having Flown est le quinzième album studio des Bee Gees, sorti en 1979. Sorti après le succès de la bande originale Saturday Night Fever, il contient les trois singles nos 1 aux États-Unis Tragedy, Too Much Heaven et Love You Inside Out. La Bee Gees mania déferle dans le monde, le groupe est partout dans les médias, les radios et ils offrent la tournée américaine intitulée "Spirit Tour" à leurs fans où Andy Gibb (la nouvelle idole des adolescentes) leur jeune frère se joint à eux sur scène pour fêter la gloire des frères Gibb. Musiciens: Barry Gibb : chant, guitare Robin Gibb : chant Maurice Gibb : chant, basse Blue Weaver (en) : claviers Alan Kendall (en) : basse, guitare Dennis Bryon : batterie Neal Bonsanti : cuivres Gary Brown : saxophone Harold Cowart : basse Kenneth Faulk : cuivres Albhy Galuten (en) : synthétiseur, basse Peter Graves : cuivres Joe Lala (en) : percussions Lee Loughnane (en) : cuivres Herbie Mann : flûte James Pankow (en) : cuivres Walter Parazaider (en) : cuivres Bill Purse : cuivres Whit Sidener : cuivres George Terry : guitare Stanley Webb : cuivres Daniel Ben Zubulon : percussions

Credits: Arranged By – Dave Roberson (tracks: A3, B1, B5), Gordon Camp (tracks: A3, B1, B5), Kevin McCord (tracks: A3, B1, B5), Rudy Robinson (tracks: A1, A2, A4, B2 to B4) Strings – Rudy Robinson

Credits: Producer – Quincy Jones Recorded By, Mixed By – Bruce Swedien

Kool and The Gang est un groupe de jazz-funk et de funk formé à Jersey City dans le New Jersey, aux États-Unis en 1964. Groupe phare des années 1970 et déjà grand inspirateur des grands courants musicaux mondiaux qui allaient suivre tels le rap et surtout, le R'n'B. Membres: Bass – Robert "Kool" Bell Drums – George Brown Guitar – Charles Smith Saxophone, keyboards – Khalis Bayyan Keyboards – Curtis "Fitz" Williams Vocals, percussion – James "J.T." Taylor Alto saxophone – Dennis "Dee Tee" Thomas Trombone – Clifford Adams Trumpet – Michael Ray, Robert "Spike" Mickens Additional musicians – Alex Williams, Kendal Stubbs, Mark Attalla Backing vocals – Barbara Hernandez, Bert Clardy, Jeff Clardy, Kendal Stubbs, Lisa Foster, Starleana Young Drum programming – Kendal Stubbs Synthesizer and creative software programmed by – Randy Weber

Junior Giscombe (de son vrai nom Norman Giscombe), plus simplement appelé Junior est un chanteur anglais né le 10 novembre 1961 à Londres. Son titre le plus connu, Mama Used to Say, sorti en 1982, a été au top 10 des charts anglais cette même année. Suite à ce triomphe , il enregistra d'autres albums et singles qui n'atteindront pas le succès de Mama Used to Say, mais obtiendra un autre tube en 1987, Another Step (Closer to You), en duo avec Kim Wilde, qui se classera dans le Top 10 des charts britanniques. Le dernier titre du chanteur à s'être bien classé, Then Came You, date de 1992, mais toutefois, il continue régulièrement à enregistrer des albums depuis cette période.

...En 1983, sortie de l'album "Scandalous" qui marquera le retrait du groupe. Cet album contient cependant "Looking at Midnight", "New Dimension" et "State of love".Leee John prend un break en 1984 pour se consacrer à la comédie et à la télévision...

Imagination est un groupe d'electro-funk créé par Leee John, Ashley Ingram et Errol Kennedy à Londres en 1981. Leee John est élevé à New York City où il fait des chœurs pour les Delfonics et les Chairmen Of The Board. Détecté par Trevor Horn, il rencontre Ashley Ingram lors d'une audition et ils forment ensemble le duo Fizz. De retour en Angleterre ils rencontrent Errol Kennedy, le batteur du groupe américain Midnight Express avec lequel ils vont créer le trio funk Imagination. Le nom Imagination est un hommage à l'une des plus célèbres chansons de John Lennon : Imagine. Le premier album, Body Talk (1981), connaît un succès immédiat, et leur plus gros hit reste Just an illusion, classé no 2 au Royaume-Uni et au Top 10 un peu partout dans le monde (extrait de leur deuxième album, "In the heat of the night"1982), Music and lights, extraite du même album, également fait partie des tubes des années '80.

Comme de nombreux pianistes de jazz, Hancock dispose d'une formation musicale classique dès l'âge de sept ans. Très précoce, il joue le premier mouvement du Concerto No. 5 en ré majeur de Mozart à onze ans lors d'un concert pour jeunes avec le Chicago Symphony. Durant son adolescence, Hancock n'a pas de professeur de jazz mais découvre cette musique grâce aux enregistrements d'Oscar Peterson et de George Shearing. Il écoute également d'autres pianistes comme McCoy Tyner, Wynton Kelly et Bill Evans et étudie les pièces de Miles Davis, John Coltrane et Lee Morgan. Après avoir étudié la composition musicale pendant trois ans et demi au Grinnell College, il est engagé par Donald Byrd en 1961. Il finira plus tard ses études à Grinnel en Génie électrique et musique en 1971. Le pianiste se fait rapidement une réputation et joue notamment avec Oliver Nelson et Phil Woods. Il enregistre son premier album en tant que leader, Takin' Off, pour Blue Note en 1962 avec notamment le saxophoniste ténor Dexter Gordon et le trompettiste Freddie Hubbard. Le morceau Watermelon man offrira un hit à Mongo Santamaria mais l'album est surtout remarqué par Miles Davis qui monte à ce moment un nouveau groupe... ...De 1978 à 1982, Hancock enregistre de nombreux albums jazz marqué par la musique pop et disco, avec Sunlight sur lequel jouent les musiciens Tony Williams et Jaco Pastorius. Il obtient un tube en Angleterre avec le titre "I Thought It Was You" sur lequel il chante à travers un Vocoder qui ne convainc pas les critiques. Il continue avec le vocoder avec Feets, Don't Fail Me Now qui lui offre un autre tube "You Bet Your Love". Ses albums suivant Monster (1980), Magic Windows (1981), et Lite Me Up (1982) font partie de ses albums les moins bien accueillis par la critique et par marché, à l'époque saturé de ces hybrides pop-jazz, notamment ceux de son ancien collègue Freddie Hubbard. Hancock lui même a un rôle limité dans ces albums, laissant le chant, la composition et parfois la production à d'autres...

Touchthe world est le quatorzième album studio Earth, Wind & Fire , produit par le leader du groupe Maurice White pour les Productions Kalimba, et sorti en 1987 sur Columbia Records . Touch the world a été certifié disque d'or aux États-Unis pour les ventes de plus de 500.000 exemplaires par la RIAA .

Membres: Precious Wilson(chant, 1975-79 et depuis 1997) Leslie Johnson (chant, 1974-75) Kim Davis (chant, 1980) Jane Jochen (chant; 1980-85) Greg Perrineau (guitare) Morgan Perrineau (basse) Gerry Williams (clavier) Eric Kingsley (batterie)

Earth, Wind and Fire est un groupe de funk originaire de Chicago dans l'Illinois. Le groupe a été formé en 1969 à l'initiative de Maurice White. Sa plus notable particularité a été sa capacité à innover en introduisant et en mélangeant de façon savante et inédite des éléments issues des traditions musicales africaines, brésiliennes, cubaines et caribéennes à son funk caractérisé par une section de cuivre de grande qualité (les Phoenix Horns) et des arrangements empruntés aussi bien au jazz qu'à la musique symphonique. La musique d'Earth, Wind and Fire a d'ailleurs parfois été qualifiée de « Funk Symphonique ». Le groupe s'est également démarqué par la complémentarité de ses deux chanteurs Maurice White et Philip Bailey (dont les remarquables capacités vocales couvrent plusieurs octaves).

À la fin des années 1970, le groupe emprunte, à la demande de leur maison de disques, une voie plus grand public en réalisant des titres disco-funk, correspondant au "format radio", très en vogue à l'époque. Earth, Wind and Fire atteint son apogée avec les albums Gratitude (1975), All'n all, Best of volume 1, I am de 1979, année où ils rempliront Wembley cinq soirs de suite. Dès lors, les maisons de disques voudront s'accaparer les décisions artistiques du groupe pour qu'il continue de produire des hits. Mais ceci précipitera le déclin du groupe, puis la séparation de ses membres. Petit à petit, les éléments du groupe s'en vont, les tournées épuisent le leader Maurice White et l'année 1984 marquera le premier arrêt du parcours du groupe.

All 'N All est le huitième album studio réalisé par le groupe américain Earth, Wind & Fire , sorti en 1977 sur Columbia Records . Il est l'un des albums les plus connus du groupe et a été certifié triple disque de platine aux États-Unis avec la vente de trois millions d'exemplaires par la RIAA , de l'or au Canada par Music Canada et de l'argent au Royaume-Uni par le British Phonographic Industry . All 'N All atteint le numéro trois sur Pop Album chart et est resté numéro un sur le Black Album Chart pendant neuf semaines. All 'N All a également été le best-seller de R & B Album 1978. L'album comporte des chansons à succès telles que,"I'll Write A Song For You"," Serpentine Fire ", "Love's Holiday" , et le hit pop" Fantasy ". Une version remasterisée existe depuis 2002.

...L'album suivant, C'est chic, sorti le 8 novembre 1978, marquera la consécration mondiale du groupe avec le tube Le Freak, qui dépasse les deux millions d’exemplaires et deviendra no 1 pendant trois semaines. C’est le single le plus vendu de l'histoire d'Atlantic. À partir de cet album, Norma Jean est remplacée par la chanteuse Luci Martin, accompagnée d’Alfa Anderson... L’empreinte sur les succès de l’époque: Le groupe participe par ailleurs à des albums d’autres artistes, notamment celui de sa première chanteuse, Norma Jean (Norma Jean en 1978) ou des Sister Sledge (dont le célèbre We are family en 1979). Ils réalisent aussi le tube européen Spacer pour Sheila B.Devotion fin 1979 et un album pour Debbie Harry, ex-chanteuse de Blondie (Koo koo, en 1981), qui sera disque d'or aux États-Unis. Leur collaboration la plus déterminante reste l’album diana (1980) pour Diana Ross, avec un titre classé n°1 pop, R&B et disco, Upside down, suivi de trois autres titres dont I'm coming out. En 2003, une réédition de cet album publie à côté du mixage habituellement commercialisé le mixage prévu par Chic mais non avalisé par Motown, la maison de disques de Diana Ross. Les différences éloquentes sont révélatrices de la manière de travailler d'Edwards et Rodgers...

Déjà en 1980 Donna Summer est assimilée à son âge d'or, même si elle a mutiplié les déclarations et les actes pour le rejeter. C'est la fin d'une époque et les autres simples de The wanderer seront assez mal classés en 1981 : Cold Love sera no 33 et Who Do You Think You're Fooling no 40. Il faut dire que The Wanderer est fait de mélodies louchant vers le rock et réinterprétant Hot Stuff, si l'on excepte le synthétique Grand Illusion. Elle change d'ailleurs fondamentalement (comme le montre le gospel I Believe In Jesus) et commence à mettre en avant ses récentes convictions religieuses de « born-again Christian », ce qui est mal accepté de son public traditionnel. The Wanderer se vend cependant bien (onzième simple le plus vendu de sa carrière) et Cold Love se maintient honorablement (à la dix-septième place, juste avant Walk Away, dix-huitième). L'album est disque d'or.

Donna Summer continue sur sa lancée avec le sans âme Once upon a time, album claustrophobique vite réalisé qui se veut être un conte de fées moderne. Après la parution de ce lp en 1977, devenu disque d'or, elle classe un simple en janvier 1978, I Love You (no 37). Auparavant, Rumour Has It, le seul titre à surnager de l’ensemble, avait été no 1 disco (pendant cinq semaines à partir du 17 décembre) mais seulement no 21 r'n'b et no 53 pop. Une chanson est assez réussie, Now I Need You, avec des choristes en contrepoint. Par ce disque double, le premier d'une longue liste, elle avait voulu prouver qu'elle pouvait écrire autre chose que des albums contenant une poignée de chansons rallongées. Elle était aussi plus ou moins contrainte de faire des disques doubles par son contrat signé en septembre 1977. En effet elle avait signé un contrat stipulant qu’elle devait sortir neuf albums sur une période deux ans, tous devant être réalisés par Moroder et Bellotte. Ce chiffre délirant pouvait être réduit à quatre albums doubles et un simple, ce qu’elle fit en gros.

Les albums suivants, A Love Trilogy et Four Seasons Of Love, parus tous deux en 1976, montrent une grande fidélité à l’égard de Love to Love You Baby. Ces deux LP sont aussi disques d'or. Le premier single tiré de A Love Trilogy est une reprise de Barry Manilow, Could It Be Magic, qui sur l'album est précédée d'une sulfureuse intro, Prelude to Love. Cette version très réussie est cependant beaucoup plus commerciale que la version originale. Suit Try Me, I Know We Can Make It, morceau de près de 18 minutes, condensé en un peu plus de 4 minutes pour le single. (On la retrouvera par la suite, avec Could It Be Magic sur la bande originale du film Looking for Mr Goodbar). La réalisation artistique était jusqu'alors surtout le fait de Pete Bellotte, mais à partir de maintenant, Giorgio Moroder prend plus d'importance déclarée.

Love to Love You Baby Un titre supplémentaire connaît par la suite une bonne fortune, Love to Love You. C'est à l'origine un simple uniquement sorti en Europe (chez Groovy aux Pays-Bas avec Need-a-Man Blues en face 2). Ce titre court devient Love to Love You Baby et dépasse le quart d'heure après que lors d'une fête privée le patron de Casablanca, Neil Bogart, avait été obligé de le passer et de le repasser à la demande de ses invités. Les réalisateurs artistiques de Summer lui concoctent alors une nouvelle formule qui aboutit à l'album Love to love baby (1975) où la chanson-titre est remixée. Le succès, testé d'abord dans les discothèques françaises, est immense et cette chanson fait date de par l'audace du concept : pendant plus de 16 minutes, Summer soupire des paroles clairement érotiques alternant avec de longs moments dévolus aux choristes et aux musiciens (basse, synthétiseur, violons) sur fond de grosse caisse envahissante, lente et sourde. C'est le triomphe d'une petite production incluant à peine une quinzaine de personnes, qui a enregistré le disque en deux mois (mai-juin 1975). Mais c'est surtout le triomphe d'un concept né sous la houlette de deux réalisateurs artistiques - Pete Bellotte et Giorgio Moroder - et l'apparition d'un son immédiatement identifiable par son utilisation du synthétiseur -le son de Munich (Parallèlement Levay et Kunze lançaient les Silver Convention qui avec leur no 1 Fly Robin Fly procèdent de la même école qui a inventé l'Eurodisco). Love to love you baby devient un énorme hit dans les boîtes gays et marque l'avènement du disco tandis que de nombreuses radios refusent de la passer vu son caractère trop sexuel. Néanmoins c'est le début du raz-de-marée Donna Summer. Love to love you baby rentre dans les listes américaines en décembre 1975 et devient la meilleure vente pendant quatre mois. Classée no 2 en février 1976, elle dépasse rapidement le million de ventes. Au Royaume-Uni, elle est classée le 17 janvier 1976 et monte jusqu'à la cinquième place. Le 19 février le simple est disque d'or aux États-Unis tout comme le lp du même nom (no 6 R&B et no 11 pop). Love to love you baby est aussi le cinquième simple le plus vendu de Summer tout au long de sa carrière. Il existe trois versions sensiblement différentes du LP : la version parue chez Oasis et distribuée par Atlantic, une autre édition, chez Casablanca (qui remplace la reprise de Full of emptiness et The hostage par Virgin Mary) et enfin une troisième avec The hostage et Lady of the night. Full of emptiness est un titre repris de Lady of the night. Le 45 tours est lui sorti avec Need-a-man blues en face 2 ou avec une deuxième partie de 3:27 du hit –la première faisant 4:57.

Love to Love You Baby Un titre supplémentaire connaît par la suite une bonne fortune, Love to Love You. C'est à l'origine un simple uniquement sorti en Europe (chez Groovy aux Pays-Bas avec Need-a-Man Blues en face 2). Ce titre court devient Love to Love You Baby et dépasse le quart d'heure après que lors d'une fête privée le patron de Casablanca, Neil Bogart, avait été obligé de le passer et de le repasser à la demande de ses invités. Les réalisateurs artistiques de Summer lui concoctent alors une nouvelle formule qui aboutit à l'album Love to love baby (1975) où la chanson-titre est remixée. Le succès, testé d'abord dans les discothèques françaises, est immense et cette chanson fait date de par l'audace du concept : pendant plus de 16 minutes, Summer soupire des paroles clairement érotiques alternant avec de longs moments dévolus aux choristes et aux musiciens (basse, synthétiseur, violons) sur fond de grosse caisse envahissante, lente et sourde. C'est le triomphe d'une petite production incluant à peine une quinzaine de personnes, qui a enregistré le disque en deux mois (mai-juin 1975). Mais c'est surtout le triomphe d'un concept né sous la houlette de deux réalisateurs artistiques - Pete Bellotte et Giorgio Moroder - et l'apparition d'un son immédiatement identifiable par son utilisation du synthétiseur -le son de Munich (Parallèlement Levay et Kunze lançaient les Silver Convention qui avec leur no 1 Fly Robin Fly procèdent de la même école qui a inventé l'Eurodisco). Love to love you baby devient un énorme hit dans les boîtes gays et marque l'avènement du disco tandis que de nombreuses radios refusent de la passer vu son caractère trop sexuel. Néanmoins c'est le début du raz-de-marée Donna Summer. Love to love you baby rentre dans les listes américaines en décembre 1975 et devient la meilleure vente pendant quatre mois. Classée no 2 en février 1976, elle dépasse rapidement le million de ventes. Au Royaume-Uni, elle est classée le 17 janvier 1976 et monte jusqu'à la cinquième place. Le 19 février le simple est disque d'or aux États-Unis tout comme le lp du même nom (no 6 R&B et no 11 pop). Love to love you baby est aussi le cinquième simple le plus vendu de Summer tout au long de sa carrière. Il existe trois versions sensiblement différentes du LP : la version parue chez Oasis et distribuée par Atlantic, une autre édition, chez Casablanca (qui remplace la reprise de Full of emptiness et The hostage par Virgin Mary) et enfin une troisième avec The hostage et Lady of the night. Full of emptiness est un titre repris de Lady of the night. Le 45 tours est lui sorti avec Need-a-man blues en face 2 ou avec une deuxième partie de 3:27 du hit –la première faisant 4:57.

Tournant d'I Feel Love Elle co-écrit toutes les chansons de l'album suivant (sauf une reprise) qui est I Remember Yesterday, album où son style évolue. Ici chaque chanson représente une époque de la musique populaire américaine, des années 1920 au « futur ». De cet album disque d'or, elle tire trois singles, I Remember Yesterday, Love's Unkind et I Feel Love (la chanson symbolisant avec adéquation le son du futur). À l'origine face 2 du simple Can't We Just Sit Down (And talk it over), no 20 soul, I Feel Love mènera une carrière indépendante à partir d'un no 1 disco (trois semaines en juillet) et d'un no 1 en Angleterre. En novembre il est no 6 pop et no 9 r'n'b. Il se vend aux États-Unis à plus d'un million d'exemplaires. Comme d'habitude, un titre, ici le remarquable I Feel Love, occulte quelque peu le reste de l'album. I Feel Love existe aussi en une version rallongée de deux minutes supplémentaires, sans grand intérêt vu qu'elle en répète simplement la dernière partie (système inauguré avec Down, Deep Inside, chanson avec laquelle elle partage d'ailleurs le maxi). I Feel Love sera néanmoins un classique du disco et Patrick Cowley la remixe pour Disconet (le maxi sortira même officiellement en 1982) tandis que Jimmy Somerville et Marc Almond la reprennent en 1984, en attendant de nombreuses reprises et des remixes en 1995. La méthode choisie par Moroder et Bellotte laisse perplexe et l’idée de concept, qui a apparemment présidé à l’élaboration du disque, est bien mince. Le premier titre est I Remember Yesterday, rappelant les années 1940 des « big bands » et Glenn Miller. Suit Love's Unkind, assez difficile à placer chronologiquement mais qui représenterait plutôt les années 1950. Back In Love Again rend hommage aux Supremes et à la Motown des années 1960. La face se termine par I Remember Yesterday (reprise), procédé de répétition irritant qui n’apporte rien. La face 2 contient Black Lady (les années 1920), Take Me (le disco des années 1970), Can't We Just Sit Down (And talk it over) (la ballade apparemment intemporelle) et I Feel Love (le futur). Comme on le voit, le fil chronologique n’est pas des plus convaincants surtout que l’uniformité de l’orchestration n’aide pas à bien faire les différences entre les styles. Les deux seules chansons à échapper au moule sont les deux dernières, qui ont d’ailleurs partagé le même 45 tours. Can't We Just Sit Down (And talk it over) est une carte de visite honorable pour prouver que Donna Summer sait chanter au-delà des soupirs et de la petite voix de ses trois premiers albums. De plus, cette chanson, qui est une reprise de David Soul (le blond de la série télévisée Starsky & Hutch l’avait sortie peu avant sur son album de 1977) est assez jolie. L’autre chanson qui marque est bien sûr I Feel Love. Mais n’est-il pas ironique de voir que cette chanson qui a eu en effet un rôle fondamental dans les styles à venir de la musique pour danser se trouve sur un album dévolu à des genres musicaux passés ? D’ailleurs on peut se demander si Donna Summer se souvient bien d’hier, de son propre passé, puisque ce disque s’inscrit sous une double rupture : elle montre qu’elle sait chanter (ce qui n’allait pas de soi auparavant) et elle inaugure le disco sans instruments autres que des synthétiseurs. En Angleterre un 12" est édité avec Back In Love Again, Try Me, I Know We Can Make It et Wasted. Un 45 tours de cette chanson sort en Allemagne chez Atlantic avec l’inédit A Man Like You en face 2. Le 45 tours allemand connaît un nouveau pressage en 1978 avec I Remember Yesterday en face 2. Can't We Just Sit Down (And talk it over) est aussi sorti en 45 tours promotionnel chez Casablanca aux États-Unis avec deux versions sensiblement différentes sur chaque face : une version de 3:42 et une autre de 3:56. Parallèlement Casablanca sort au Mexique un 45 tours avec quatre titres, système qui sera repris par la suite. On y trouve Love To Love You Baby, I Feel Love, Try Me, I Know We Can Make It et Take Me.

...Son plus gros succès commercial est la bande originale du film autobiographique Purple Rain, publiée en 1984 et vendu à plus de 20 millions d'exemplaires1... ... Son projet étant de créer son propre film qui raconterait son histoire. Quand il exposa son projet à Warner Bros l'idée fut entièrement rejetée. Mais Prince était déterminé et comptait à tout prix aller au bout de ce projet. Se sont les managers de Prince qui ont financé en grande partie le tournage du film réalisé à Minneapolis en novembre 1983. Prince s'est investi énormément dans ce projet, il était présent pour le tournage de toutes les scènes et si un détail ne lui convenait pas il était prêt à refaire la prise jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Tous ces efforts ne seront pas inutiles car, à la sortie du film, le 27 juillet 1984, les portes de la gloire allaient s'ouvrir pour lui. Le film rapporta 71 millions de $, la bande-son du film s'est vendue 24 millions de copies dans le monde, les singles de l'album rencontrent eux aussi le succès et, pour finir, le Purple Rain Tour sera pour l'époque l'une des tournées les plus rentables à travers les États-Unis 1,7 millions de billets sont vendus. Prince enchaîna 3 succès en un week-end et 4 en ajoutant la tournée par la suite. Purple Rain reçut l'oscar de la meilleure musique pour un film-musical et l'album obtiendra 6 récompenses comptant 2 Grammy, 3 prix aux American Music Awards et un aux Academy Awards avant d'être mis 72e dans le classement des 500 plus grands albums de tous les temps par le magazine Rolling Stone...

Boney M. est un groupe vocal allemand d'anglophones des Caraïbes de disco-pop, créé et dirigé par le producteur allemand Frank Farian et qui fut actif de 1976 à 1985. Les quatre membres originels du groupe sont Bobby Farrell (qui est décédé le 30 décembre 2010 à Saint-Pétersbourg en Russie), Liz Mitchell, Maizie Williams, et Marcia Barrett. Reggie Tsiboe a chanté avec eux de 1982 à 1985, sa photo n'apparaissant toutefois pas sur le site officiel. "...En décembre 1974, le chanteur-compositeur allemand Frank Farian (de son vrai nom Franz Reuther), qui travaille pour le label allemand Hansa Records, enregistre en studio, avec des musiciens de séance, Baby Do You Wanna Bump?, dont il fait à la fois la voix grave et les voix de fausset. Mis sur le marché par Farian qui a pris le pseudonyme de Boney M., le titre connaît un grand succès aux Pays-Bas et en Belgique. Il forme un groupe à la va-vite pour en assurer la promotion dans les boîtes de nuit et à la télévision. Il engage des choristes antillaises : Maizie Williams, originaire de l'île de Montserrat, Sheyla Bonnick, chanteuse jamaïcaine, et un danseur du nom de « Mike » (dans les premiers temps). En 1975, Sheila Bonnick est remplacée par Claudja Barry (qui avait succédé à Donna Summer dans la comédie musicale Hair) et le dénommé Mike par Bobby Farrell, danseur exotique originaire de l'île d'Aruba dans les Petites Antilles. La chanteuse jamaïcaine Marcia Barrett intègre à son tour le groupe. En 1976, Liz Mitchell, ancien membre des Humphries Singers, remplace Claudja Barry, démissionnaire, lassée de ne faire que de la synchronisation labiale. Le groupe est désormais constitué de Liz Mitchell, Maizie Williams, Marcia Barrett, et de Bobby Farrell. Si officiellement Bobby Farrell est le danseur et chanteur du groupe, la voix rocailleuse est celle de Frank Farian lui-même, modifiée par l'électronique et enregistrée sur bande magnétique. De même, Maizie Williams n'a jamais chanté de toute sa carrière au sein du groupe. La plupart des chansons sont chantées par Liz Mitchell et Frank Farian, Marcia Barrett faisant les chœurs, et quelques chansons en solo (notamment Belfast). L'image de Boney M., trois filles prosternées aux pieds d'un maître vaudou aux allures de proxénète, a sans doute contribué au succès du groupe, mais c'est surtout la qualité des mélodies et des instrumentations, très travaillées, qui expliquent le triomphe phénoménal que remporta la formation en Europe avec les titres Daddy Cool1 (1976), Sunny (1977) ou Ma Baker (1977) ainsi que leur version du classique reggae des Melodians, Rivers of Babylon (1978), troisième meilleure vente de 45 tours de toute l'histoire des classements britanniques..."

Edwin Starr né Charles Edwin Hatcher (21 janvier 1942 à Nashville (États-Unis) et mort le 2 avril 2003 à Bramcote (Grande-Bretagne) était un chanteur et compositeur de soul américain de la Motown, célèbre pour plusieurs hits des années 1970, notamment War. Il est né à Nashville dans le Tennessee (aux États-Unis) en 1942. Ses cousins Roger Hatcher et Willie Hatcher et lui déménagent à Cleveland dans l'Ohio où ils grandissent. En 1957, il forme un groupe de Doo-wop, The Future Tones et débute sa carrière de chanteur. Edwin Starr habite à Détroit au Michigan dans les années 1960 et enregistre tout d'abord pour le petit label Ric-Tic avant que celui-ci ne soit racheté par la Motown en 1968. Son premier succès est Agent Double'O'Soul (1965), une référence aux films de James Bond. Il enregistre plusieurs titres soul pendant les trois années suivantes avant de connaître un premier succès international avec 25 Miles en 1968. Le plus grand hit de sa carrière, celui qui a assis sa réputation de grand artiste soul, est la chanson protestataire contre la guerre du Viêt Nam War, sortie en 1970 juste après la version originale de The Temptations. Selon Starr, les paroles ont été enregistrées en une seule prise. Connu pour sa modestie, il l'explique par la nécessité qu'il avait de tout donner dès les premières prises à cause du peu de temps qui lui était accordé dans les studios. Grâce à la performance vocale d'Edwin Starr, cette version devient un hit resté trois semaines (29 août, 5 et 12 septembre 1970) en tête du classement américain US Billboard, un hymne pour le mouvement pacifiste et une borne culturelle importante qui dépasse les générations, figurant dans les bandes originales de films et les samples de hip-hop. Starr est décédé le 2 avril 2003 d'un infarctus du myocarde à l'âge de 61 ans à son domicile de Beeston près de Nottingham (Grande-Bretagne).

"Risqué" est le troisième album studio du groupe americain R & B, Chic , sorti sur Atlantic Records en 1979, la même année que Bernard Edwards et Nile Rodgers ont écrit et produit Sister Sledge avec un succès phénoménal "We Are Family" . "Risqué" comprend trois singles classiques, " Good Times "(N ° 1 Pop, n ° 1 R & B Juin 23, 1979)," My Forbidden Lover "(n ° 33 R & B, n ° 43 Pop Octobre 13, 1979) et" My Feet Keep Dancing " . (n ° 42 R & B, n ° 101 Pop Décembre 8, 1979) "Risqué" atteint # 5 sur les albums US Chart et # 2 le R & B de plus la sortie d'une 1ère compilation fut Les Plus Grands Succès De Chic: Chic's Greatest Hits à la fin de 1979. "Good Times" a été largement repris dans les œuvres d'autres artistes. "Will You Cry" a été repris dans "Just a Moment" par Nas de l'album "Disciple Street". "Risqué" a été enregistré sur un disque compact et re-publié par Atlantic Records / Warner Music en 1991 (7567-80406-2 numéro de catalogue). L'album a été remasterisé et réédité par Warner Music Japan en 2011. Personnel: Alfa Anderson - voix Bernard Edwards - chant, guitare basse Fonzi Thornton - chant Luci Martin - chant Michelle Cobbs - chant Ulland McCullough - chant Nile Rodgers - guitare Tony Thompson - batterie Robert Sabino - claviers Andy Schwartz - claviers Raymond Jones - claviers Sammy Figueroa - percussion Gene Orloff - maître de concert Karen Karlsrud (The Strings Chic) - cordes Cheryl Hong (The Strings Chic) - cordes Karen Milne (The Strings Chic) - cordes Valerie Haywood (Les cordes Chic) - cordes Jon Faddis - trompette Ellen Seeling - trompette Alex Foster - saxophone Jean Fineberg - saxophone Barry Rodgers - trombone

Change est un groupe de musique italo-américain formé en 1979. Membres: Davide Romani Diva Gray Jacques Fred Petrus Jocelyn Brown Lisa Fischer Luther Vandross Mauro Malavasi Paolo Gianolio

Kool & The Gang est un groupe de jazz-funk et de funk formé à Jersey City dans le New Jersey en 1964. Groupe phare des années 1970 et 1980 et déjà grand inspirateur des grands courants musicaux mondiaux qui allaient suivre tels la soul et surtout, le R'n'B. À la fin des années 1970, le disco bat son plein et de nombreux groupes de funk se tournent vers une musique plus pop pour toucher un public plus large. En 1978, Ronald-Khalis-Bell organise une audition pour recruter un chanteur. Sur la recommandation du producteur Eumir Deodato et du propriétaire d'un studio d'enregistrement, Charlie Conrad, James JT Taylor, un instituteur du New Jersey et chanteur habitué des clubs, est le premier à être auditionné .Khalis joue quelques notes de piano et il est stupéfait lorsqu'il entend Taylor chanter. Il l'engage sur le champ. Parallèlement, au début des années 1970 le groupe rencontre le musicien/ arrangeur Eumir Deodato, qui est également un producteur très respecté dans le milieu (il a, entre autres, repris la musique du film 2001 : L'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick- extraite d'une composition de Richard Strauss - et écrit une multitude d'arrangements pour de nombreux artistes dont Frank Sinatra, Roberta Flack ou Björk, pour ne citer que ceux-là). Fort de leurs expériences respectives et animés par une passion commune : le jazz, ils décident de s'associer. Commence alors une collaboration qui durera 10 ans et donnera 4 albums : Ladies Night (1979), Celebration (1980), Something Special (1981) et As one (1982). De cette époque, Deodato déclarera, lors d'une interview accordée au magazine Waxpoetics en 2003 : « ...pour moi, ce fut merveilleux de travailler avec eux (Kool & the Gang), c'était un plaisir, ... c'était Kool and the Gang,... » (Waxpoetics no 7 page 60). La voix et le charisme de JT Taylor alliés à l'ingénieuse efficacité des co-productions Kool and the Gang/ Deodato donneront rapidement leurs fruits. Nombre de leurs titres vont dès lors devenir des tubes internationaux. Les années 1980 sont les années de gloire du groupe qui collectionne les titres en tête des charts : Ladies Night (1979), Too Hot (1979), Celebration (1980), Jones vs Jones (1980), Get Down on It (1981), Take My Heart (1981), Let's Go Dancing (1982), Joanna (1983), Tonight (1983), Straight Ahead (1983), Cherish (1985) ou encore Fresh (1984), Emergency (1984), Victory (1986) et Stone Love (1986).

KC and the Sunshine Band est un groupe américain de funk originaire de Miami en Floride. Le groupe connaît dès ses débuts un succès énorme et gravit les échelons dans les charts américains et britannique très vite avant de redescendre de son piédestal aussi rapidement. Formé en 1973 par Richard Finch et Harry « KC » Wayne Casey, le groupe s'axe dans un premier temps autour du duo avec des influences funk, mouvement émergeant. Dès 1974, ils signent pour George McCrae leur premier hit avec le single Rock Your Baby vendu à 11 millions d'exemplaires. En 1975, sort leur second album éponyme sur lequel figurent les deux grands « classiques » That's The Way (I Like It) et Get Down Tonight qui font connaître KC and the Sunshine Band à travers le monde. Le succès est encore et toujours présent jusqu'à la fin des années 70 avec les albums Part 3, Who Do Ya Love et Do You Wanna Go Party. Cependant le déclin se fait sentir avec le succès grandissant et envahissant des Bee Gees s'appropriant progressivement le flambeau disco tandis que la déferlante punk surgit. Les relations se dégradent également entre Finch et Casey menant à la rupture du groupe original. Casey revient à quelques occasions pour faire revivre le groupe avec de nouveaux membres.

Bad Girls Consciente de son aspect très marqueté, elle tentera de le faire voler en éclats en 1979 avec le double album Bad Girls qui élimine enfin le « syndrome Love to Love You ». Cet album marque un intéressant renouveau musical tout en gardant la même réalisation artistique. Bad Girls est surtout le premier album de Summer réalisé avec soin ; ses prédécesseurs avaient en effet été réalisés plus hâtivement. Elle classe deux très bons simples no 1 coup sur coup, Hot Stuff et Bad Girls, qui se vendront chacun à plus de deux millions d'exemplaires aux États-Unis. Hot Stuff, sera no 1 pop pendant trois semaines et no 3 R'n'B tandis que Bad Girls, lancée avant que Hot Stuff n'atteigne le no 1 pop, sera no 1 pop pendant cinq semaines et no 1 R'n'B une semaine. Les deux chansons, mixées en continu pour les discothèques, seront ensemble no 1 disco pendant sept semaines le 26 mai. Hot Stuff est d'ailleurs le simple le plus vendu de Summer, suivi de près par Bad Girls. Neil Bogart, patron de Casablanca, lui avait cependant déconseillé de lancer Hot Stuff, trop rock, et avait proposé à Summer de le laisser à Cher, chanteuse du même label, qui sortait d'un no 2 disco (no 8 pop), Take Me Home (Donna Summer garda Hot Stuff mais Cher en enregistra un clone réalisé par Moroder pour le film Foxes : Bad Love). Puis suivra l'excellent Dim All the Lights, no 2 vendu à un million d'exemplaires. L'album Bad Girls est de tous le moins monolithique et comme le reconnaît Giorgio Moroder, son travail de réalisateur artistique le plus intéressant. On est toujours dans le « concept album » mais il faut avouer que l’idée directrice, les prostituées, n’est guère suivie de manière constante tout au long de l’album. Ce sera un album de platine. À côté des gros tubes disco superbement efficaces (avec une pointe de rock pour Hot Stuff), on trouve des slows joliment agencés (ceux de la troisième face dont There Will Always Be a You qui servira à de nombreuses faces 2 de simples), et des titres synthétiques au rythme hypnotique, héritiers d'I Feel Love sans en être des clones (ceux de la quatrième face dont Sunset People, simple suivant et sa face B Our Love). L'album contient aussi My Baby Understands où Donna Summer fait ses premières armes en production sur un de ses albums avec J. Köppers, sous la houlette de Moroder/Bellotte. Une curiosité : le slow All Through the Night, co-écrit par Summer et Bruce Roberts, se retrouvera sur deux des trois albums du chanteur (Cool Fool en 1980 et Intimacy en 1995) Il existe aussi un simple édité au Mexique avec la version longue de Dim All the Lights (A media luz) en face 1 et celle de Heaven Knows (El cielo sabe) en face 2. Leurs durées sont repectivement de 7:10 et 8:20. Au Brésil le 45 tours de Hot Stuff a Heaven Knows en face 2. Au Japon la face 2 est Bad Girls. Aux Pays-Bas McArthur Park est réédité en 45 tours avec Hot Stuff en face 2. Bad Girls est éditée avec On My Honor en face 2 mais en Angleterre les deux faces sont inversées –un autre simple anglais, promotionnel celui-ci est On My Honor avec en face 2 With Your Love». Au Canada la face 2 de Bad Girls est Hot Stuff. En Espagne Our Love est édité en 45 tours avec Sunset People en face 2. En 2003 l’album est réédité en double cd avec la maquette de Bad Girls et neuf versions longues de I Feel Love à On the Radio.

Credits: Producer – Quincy Jones Recorded By, Mixed By – Bruce Swedien

Change est le treizième album de Barry White, sorti en 1982. Sorti au début de la décennie à un moment où ses albums se vendent moins bien par rapport à ceux sorti dans sa période faste des années 1970, l'album, retour au funk, se vend mal au niveau national avec une 149e place du Billboard 200, mais obtient un certain succès avec une 19e place au classement Billboard des albums de R&B. La chanson-titre, paru en single, passera souvent en radio et se classe à la 12e place du Hot R&B/Hip-Hop Songs.

Tongue In Chic est le sixième album studio du groupe americain R & B Chic , sorti sur Atlantic Records fin 1982. L'album inclut le single "Hangin '" (R & B # 48). Tongue in Chic est le deuxième album de Chic qui culmina en dehors Billboards 100 Graphique (n ° 173), il n'a cependant pu atteindre que la # 47 sur le R & B Chart. L'album est le second de deux projets qui seront écrits et produits par Bernard Edwards et Nile Rodgers en 1982, l'autre étant la bande originale du film Soup For One . Tongue in Chic a été transféré sur un disque compact et re-publié par Atlantic Records / Warner Music en 1991. L'album a été remasterisé et réédité par Wounded Bird Records en 2003.

Take It Off est le cinquième album studio du groupe américain de R & B Chic, sorti sur Atlantic Records fin 1981. Il comprend le single "Stage Fright" qui a atteint # 35 sur le chart américain R & B, mais il fut le premier single à ne pas entrer dans les charts Pop aux États-Unis, et cet album ne s'est avéré être qu'un succès modéré, ainsi, il décrocha le # 124 sur l'US albums chart et 36 sur le R&B chart. . Take It Off est un des trois albums à écrit et réalisé par Bernard Edwards et Nile Rodgers en 1981, les deux autres étant Blondie et la chanteuse Debbie Harry avec son premier album solo "Koo Koo" et Johnny Mathis ' I Love My Lady , qui reste inédit . Take It Off est sorti sur CD et re-publié par Atlantic Records / Warner Music en 1991. Il a été remasterisé et réédité par Wounded Bird Records en 2006. Personnel: Alfa Anderson - vocals Fonzi Thornton - vocals Jocelyn Brown - vocals Luci Martin - vocals Michelle Cobbs - vocals Bernard Edwards - vocals, bass guitar Nile Rodgers - vocals, guitar Tony Thompson - drums Raymond Jones - keyboards Rob Sabino - keyboards Sammy Figueroa - percussion Manolo Badrena - percussion Roger Squitero - percussion Lenny Pickett - saxophone Michael Brecker - saxophone Ronnie Cuber - saxophone Vinny Della Rocca - saxophone Randy Brecker - trumpet, flugelhorn Ray Maldonado - trumpet, flugelhorn

Lime était un groupe de musique disco/hi-NRG, au débu.t des années 1980. Ce groupe, originaire de Montréal au Québec, très prolifique dans les années 80, à produit des tubes disco comme : Your love, Unexpected lovers, Babe We're Gonna Love Tonight, Angel Eyes... Le son utilisé à l'époque était très orienté « électronique », créé à base de boites-à-rythmes (Roland TR-808) et de synthétiseurs analogiques (Roland TB-303). Membres: Musique : Denis Le Page Chant : Denyse Savaria1 Représentations scéniques et interprètes pour les tournées, à partir de 1982-1983 : Joy Dorris Chris March

...Les deux albums suivants seront un pas de plus vers le gouffre, bien que cela ne soit pas encore trop visible commercialement (celui de 1983 sera son dernier disque d'or avant longtemps). She Works Hard For the Money (1983) donne trois simples : la chanson titre (no 3 aux États-Unis et no 20 en Angleterre), Unconditional Love et Stop, Look and Listen. Les deux premières chansons connaissent des versions longues. She Works Hard For the Money est comme Bad Girls no 1 R'n'B et est tout comme Bad Girls une chanson féministe qui lui a été inspirée par un événement réel. She Works Hard For the Money est un album qui est sorti chez Mercury, maison de disques dépendant de Polygram, le label ayant racheté Casablanca et à qui Summer devait encore un album (le divorce Casablanca/Summer s'était fait selon un procès). David Geffen, propriétaire de Geffen records dira ne pas regretter que She Works Hard For the Money ne se fasse pas chez lui car il avait peur que l'association des deux « born-again Christians » Summer et son réalisateur artistique Omartian ne donne un album de gospel. Puis, elle rend la politesse à Musical youth qui avait chanté sur Unconditional Love en participant à leur album Different Style (sur Incomunicando). Un 12" anglais est édité avec Love Has a Mind of Its Own, She Works Hard For the Money en version longue et People People. People People est édité en 45 tours en Hollande et He’s a Rebel en Espagne...

Delegation est un groupe musical de soul britannique présentant une longue carrière et un grand succès international. Ils sont généralement considérés en US comme un one-hit wonder , basé sur le succès de "Oh Honey" (1978). Leur plus grand succès UK est venu en 1977, avec le Top 30 single , "Where Is The Love (We Used to Know)».

Credits: Co-producer – Timmy Allen (tracks: A4, B3, B4) Mastered By [Engineer] – Dennis King Mixed By [Engineer] – Michael Brauer* Producer [Assistant] – Gwendolyn Traylor Producer, Arranged By – Jimmy Jam & Terry Lewis Recorded By [Engineer] – Craig Bishop, Steve Weise Written-By – Jimmy Jam & Terry Lewis (tracks: A1 to A3, B1), Timmy Allen (tracks: A4, B2 to B4) Change of Heart est le cinquième album studio du groupe italien / US Change. Il est sorti en 1984 et a atteint le numéro cent deux sur le US Billboard Album Chart , quinze sur les Etats-Unis Billboard Noir Albums Chart, et le numéro trente-quatre sur le Royaume-Uni Albums Chart . Change of Heart comprend le simple "Change of Heart", "It Burns Me Up", "You Are My Melody" et "Say You Love Me Again". Le groupe a enregistré et mixé les chansons de l'album au Umbi Recording Studios, Italie , Creation Audio, Minneapolis et Media Sound, New York City. Les séances ont ensuite été emmené à Atlantic Recording Studios, New York City afin d'être finalisé. L'illustration a été conçu par Greg Porto. Musiciens: Timmy Allen - basse, claviers, choeurs, chant (sur la piste 7) Rick Brennen - chant, choeurs Deborah Cooper - chant, choeurs Vince Henry - Guitare, Saxophone Michael Campbell - Guitare Jeff Bova - Synthétiseur, Clavier Toby Johnson - Drums Musiciens supplémentaires: Jimmy Jam - claviers, synthétiseurs Bernard Davis - Drums O. Nicholas Rath - Guitare Bobby Douglas, Terry Lewis, Lucia Newell, Gwendolyn Traylor - Autres Choeurs

I am est le neuvième album studio par le R & B groupe Earth, Wind & Fire , sorti en Juin 1979 sur la CBS Records . L'album contient les singles " Boogie Wonderland avec The Emotions et "After the Love Has Gone". I Am a été certifié double disque de platine aux États-Unis par la RIAA et de platine au Royaume-Uni et au Canada par la British Phonographic Industry et la musique du Canada .

Real People est le 4ème album studio par le groupe américain de R&B Chic, réalisé pour Atlantic Records en 1980. Il inclu les singles "Rebels Are We" (US R&B #10, Pop #61, Juillet 1980) and "Real People" (#51 R&B, #79 Pop). Personnel: Kim Sledge - lead vocals Debbie Sledge - lead vocals Joni Sledge - lead vocals Kathy Sledge - lead vocals Alfa Anderson - backing vocals Fonzi Thornton - backing vocals Luci Martin - backing vocals Michelle Cobbs - backing vocals Bernard Edwards - bass guitar Gene Orloff - concertmaster Tony Thompson - drums Nile Rodgers - guitar Andy Schwartz - keyboards, Fender Rhodes Raymond Jones - keyboards, Fender Rhodes Sammy Figueroa - percussion Robert Sabino - piano, clavinet Eddie Daniels - saxophone Meco Monardo - tenor saxophone Bob Milliken - trombone Ellen Seeling - trumpet Jon Faddis - trumpet Cheryl Hong (The Chic Strings) - strings Karen Milne (The Chic Strings) - strings Marianne Carroll (The Chic Strings - strings

FREDDIE JAMES est un chanteur américain de soul-funk né le 26/04/1964 à Chicago dans L'Illinois d'une mère chanteuse, GERALDINE HUNT. En 1975, la famille s'installe sur Montreal au Canada. Révélation dans tous les hits des clubs avec "AGET UP AND BOOGIE" (n°2 en Belgique, n°3 aux Pays Bas et n°54 en Grande Bretagne) à l'automne 1979. Il est le frère de la chanteuse ROSALIND HUNT du duo canadien CHERI, groupe qu'il co-produira avec sa mère.

Central Line etait un groupe de pop britannique et de jazz-funk, basé à Londres, en Angleterre. Ils ont enregistré trois albums pour Mercury Records dans les années 1980, et ont eu deux singles classés aux États-Unis, dont un(Walking Into Sunshine) est entré au Top 40 dans leur pays natal. Le groupe s’est formé en Mars 1978, et ont été signés avec Mercury Records au début de 1979 par John Stainze. Les membres fondateurs étaient Steve Salvari, Camelle Hinds, Lipson et Henry Francis Defoe. Hinds, Francis et Defoe étaient auparavant dans un groupe appelé TFB (groupe de funk typique), qui comprenaient les membres qui vont former Light of the World. TFB contenait également le batteur Errol Kennedy, qui a ensuite rejoint Imagination. Wellington à la fin de 1976, etait leur second clavier et les membres du groupe se dressaient alors à Salvari, Hinds, Francis, Defoe et Kennedy. Credits: Backing Vocals – Dee Sealy, George Chandler, Jimmy Chambers Bass, Vocals – Camelle Hinds Congas, Bongos, Percussion – Danny Cummings Design – Central Line, Rocking Russian Drums – Mel Gaynor Keyboards – Lipson Francis Lead Guitar, Rhythm Guitar – Henry Defoe Mixed By – Greg Walsh, Pete Smith, Pete Walsh* Percussion – Jake Le Mesurier Photography By – Peter Ashworth Producer – Bob Carter (tracks: B3), Roy Carter (tracks: A1 to B2, B4) Producer [Associate] – Central Line (tracks: A1 to B2, B4) Recorded By – Dennis Weinreich, Pete Smith Vocals, Percussion – Linton Beckles

On The Rise est le quatrième album sorti par le groupe R & B SOS Band sur le label tabu en Juillet 1983. Il a été produit par Jimmy Jam et Terry Lewis et Gene Dozier. L'album a culminé comme n° # 7 sur le R&B albums chart. Il a également atteint le numéro 47 sur le Billboard 200 . L'album a produit deux singles Billboard R & B Top Dix, " Just Be Good to Me" et "Tell Me If You Still Care", chacun pointant respectivement au # 2 et # 5 . Les deux singles sont aussi nommés sur le Billboard Hot 100 , atteignant respectivement les n° # 55 et # 65 . "Just Be Good to Me" a également atteint un sommet, n°# 3 sur le Hot Dance Club Play chart et # 13 sur le UK Singles Chart . Le troisième single, "For Your Love", également apparu sur la carte de R & B, atteignant le n°# 34. L'album comprend également une reprise hit de Johnnie Taylor de 1968 ,"Who's Making Love" . Personnel: The S.O.S. Band Jason Bryant – keyboards, vocals Mary Davis – lead vocals Billy Ellis – saxophone Willie "Sonny" Killebrew – saxophone, flute Abdul Ra'oof – trumpet, flugelhorn, percussion, lead vocals John A. Simpson III – bass Bruno Speight – guitar Jerome "J.T." Thomas – drums, percussion

Crédits Bass Guitar [Fender-Bass] – Donald «Duck» Dunn* Drums – Al Jackson* Guitar – Steve Cropper Liner Notes – Kurt Mohr Organ, Piano – Booker T. Jones, Isaac Hayes Tenor Saxophone – Andrew Love, Joe Arnold Trumpet – Wayne Jackson Vocals – Otis Redding Love Man est le troisième album posthume de l'artiste américain de soul Music Otis Redding. Il a été publié en juin 1969 et présentait des chansons enregistrées par Redding en 1967. L'album a été produit par Steve Cropper et mettait en vedette Booker T. et les M.G. L'album faisait partie d'une série de sorties posthumes d'Atco Records après que la réputation de Redding ait explosé à la suite de sa mort en 1967 . Love Man fut cartographié au numéro 46 sur le Billboard 200 et au numéro 8 sur les albums R & B.

Silver Convention est un album du groupe allemand d'euro disco qui enregistra dans les années 1970. A l'origine le groupe se nommait Silver Bird Convention, ou Silver Bird. Get Up and Boogie (parfois aussi connu simplement comme Silver Convention) est le deuxième albumdu groupe allemand euro-disco Silver Convention , et peut-être mieux connu pour notamment la chanson "Get Up and Boogie", qui fut classée # 1 le 15 Juin 1976 au Canada et dans le top 5 aux charts des États-Unis. Comme leur précédent album, les paroles sont minimalistes. Sorti en 1976, il s'est avéré populaire sur les pistes de danse et a connu un certain succès commercial ainsi, atteignant le numéro 9 sur le Billboard Noir Albums et numéro 13 sur le Billboard Pop Albums Chart.

Credits: Bass – Gary Unwin Congas, Percussion – Joseph Spector Drums – Martin Harrison (2) Engineer – Zeke Lund Guitar – Sigi Schwab* Keyboards, Arranged By – Sylvester Levay Lyrics By – Michael Kunze Music By – Sylvester Levay Producer – Michael Kunze, Sylvester Levay Violin – Fritz Sonnleitner's Fantastic Strings Vocals – Penny McLean, Ramona Wulf, Rhonda Heath

Credits: Producer – Quincy Jones Donna Summer est le dixième album studio de la chanteuse américaine Donna Summer , sorti en 1982 , et est actuellement épuisé. Il a accédé auTop 10, nominé aux Grammy Awards " pour le single Love is in control.

Credits: Arranged By [Synthesizer] – Jerry Hey Art Direction, Design – Lane/Donald Backing Vocals – Beloyd Taylor, Pamela Hutchinson*, Wanda Vaughn Bass – Verdine White Co-producer – Wayne Vaughn (tracks: A3, B2) Drums [Simmons] – John Gilston Drums, Percussion – Fred White Engineer [Assistant] – Barbara Rooney, Murray Dvorkin Guitar – Roland Bautista Keyboards – David Foster, Michel Colombier, Wayne Vaughn Management [Executive Representation] – Cavallo, Ruffalo & Fargnoli Management* Mixed By – George Massenburg Other [Production Staff] – Bruce Wildstein, Chip Croop, Fred Tucker, Geri White, Leonard Smith, Ron Ellison Percussion – Ralph Johnson Piano, Synthesizer, Programmed By [Synthesizer] – Larry Dunn Producer, Vocals, Drums – Maurice White Programmed By [Synthesizer] – Martin Page Recorded By – Bernie Grundman Recorded By, Mixed By – Mick Guzauski Saxophone – Andrew Woolfolk Synthesizer, Programmed By [Synthesizer] – Brian Fairweather, Robbie Buchanan Vocals – Philip Bailey Electric Universe est le treizième album studio de Earth, Wind & Fire , sorti sur Columbia Records en Novembre 1983. Il a été réalisé par le leader Maurice White pour Kalimba Productions, et est entré numéro 40 et le numéro 8 sur les charts Pop et R & B .

Triumph est le nom d'un album des Jackson Five, sorti en 1980, chez Epic Records.Peu après sa sortie, cet album a été le premier numéro 1 des charts R'n'B Albums, depuis Maybe Tomorrow, en 1971, puis est devenu disque de platine, aux États-Unis. Dans cet album, figurent les titres Lovely One, Can You Feel It et Heartbreak Hotel (renommé This Place Hotel, pour ne pas être confondu avec un des titres d'Elvis Presley). Cette chanson est celle qui a inspiré, dans son climat et sa structure, Rod Temperton, lorsqu'il a composé le tube Thriller. Triumph a été réédité le 27 janvier 2009. L'album se vend plus de deux millions d'exemplaires à travers le monde. Le 10 décembre 1980, il a été certifié disque de platine, pour des ventes de plus d'un million d'exemplaires, aux États-Unis. Composition du groupe: Chants – Michael Jackson, Jackie Jackson (sur Wondering Who), Marlon Jackson (duo sur Give It Up) et Randy Jackson (duo sur Can You Feel It). Percussions – Michael Jackson, Paulinho da Costa et Randy Jackson Basse – Nathan Watts Guitare – Tito Jackson, Mike Sembello et Paul Jackson, Jr. Timbales – Marlon Jackson Claviers – Greg Phillinganes Arrangements – The Jacksons et Tom Tom 84, sauf Everybody (arrangements par The Jacksons & Mike McKinney).

Crédits: Arranged By, Producer, Engineer [Mixing] – Barry White Engineer [Assistant] – Dave Hernandez (3), Gary McGachan, Howard Wolen* Engineer [Chief, Mixing] – Frank Kejmar Orchestrated By – John Roberts

First line-up (1980 and 1981) Luther Vandross - Lead Vocals (1980), Background Vocals (1981) Jocelyn Shaw - Lead Vocals (1980) Krystal Davis (Williams)Duo with Yvonne Lewis on "Glow of Love" and Background Vocals 1st Change Album Yvonne Lewis - "The Glow Of Love", Vocal Contractor, Group Vocals (1980) Dennis Collins - "The Glow Of Love", Group Vocals, (1980), "Miracles", Group Vocals, (1981) "Sharing Your Love" Group Vocals, (1982) Zachary Saunders - "The Glow Of Love" Featured Male Vocal, A Lover's Holiday, Group Vocals, (1980) Diva Gray - Lead Vocals James (Crab) Robinson - Lead Vocals (1981) Mauro Malavasi - Piano, Synthesizer David Romani - Bass Paolo Gianolo - Guitar Rudy Trevisi - Saxophone (1981) Doc Powell - Guitar Larry McRae - Bass (1981) Terry Silverlight - Drums Leno Reyes - Drums Onaje Allan Gumbs - Keyboards Andy Schwartz - Keyboards Nathaniel S. Hardy, Jr. - Keyboards Maurizio Biancani - Synthesizer Second Line-up (1982 to 1985) Deborah Cooper - Lead Vocals James (Crab) Robinson - Lead Vocals (1982–83) Rick Brennan - Lead Vocals, Percussion (1983–85) Timmy Allen - Bass, Keyboards, Synthesizer, Background Vocals Vincent Henry - Guitar, Saxophone Michael Campbell - Guitar Jeff Bova - Keyboards Toby Johnson - Drums (1983–84) Rudy Trevisi - Saxophone (1983) Bernard Davis - Drums (1983)

Skyy est un groupe de funk américain créé en 1970 à New York. Skyy (alias New York Skyy) est un groupe de discothèque R & B / funk / américain basé à New York. Ils sont peut-être mieux connus pour leur succès en 1981, "Call Me", ainsi que leurs "come-back" en 1989 avec "Start of a Romance" et "Real Love". Crédits: Bass – Gerald Lebon Drums – Tommy McConnell Engineer, Mixed By – John Bradley Guitar – Anibal Boochie Sierra* Producer, Arranged By, Backing Vocals, Keyboards, Mixed By, Percussion – Randy Muller Producer, Drums, Guitar, Mixed By, Vocals – Solomon Roberts, Jr.* Vocals – Bonne' Dunning Barrino*, Dolores Dunning Milligan*, Denise Dunning Crawford

The S.O.S. Band (S.O.S. étant un acronyme de « Sounds Of Success ») est un groupe de funk et R'n'B américain créé en 1977 à Atlanta et qui se sépare en 1991. En quelques années (1980/1986), The S.O.S. Band aura placé dans les hits US et UK quelques titres légendaires comme Just the Way you like it, Take Your Time (Do It Right), Just Be Good to Me ou The Finest, entre autres. Le groupe s'est reformé par la suite sans beaucoup de succès. Le groupe The S.O.S. Band est créé à Atlanta, Géorgie, en 1977 tout d'abord sous le nom de « Santa Monica »1, puis sous celui de « The S.O.S. Band ». Le groupe est à l'origine composé de Willie "Sonny" Killebrew (saxophone), Billy Ellis (flute), Jason "T.C." Bryant (clavier), Bruno Speight (guitare), John Simpson (basse), James Earl Jones III (percussions), et la voix emblématique du groupe Mary Davis (voix, clavier). Le manager du groupe, Bunny Jackson-Ransom, fait signer The S.O.S. Band. avec le label Tabu Records, qui regroupera des figures emblématiques du R&B comme Cherrelle et Alexander O'Neal, et lui adjoint Sigidi Abdullah qui signera conjointement avec le groupe quelques hits sur les deux premiers albums. Sous l'impulsion de Clarence Avant du label Tabu Records, The S.O.S. Band signe ses premiers succès avec l'album S.O.S. (en) (1980), notamment avec les titres Take Your Time (Do It Right) (en), (no 2 dans les charts R&B de Billboard et 800 000 singles vendus) et S.O.S.. Avec l'arrivée de son second album Too (en) (1981), le groupe confirme son succès avec des titres majeurs comme It's a Long Way to the Top et Do It Now, qui se placent à leur tour très bien dans les charts US. Des musiciens prestigieux comme Fred Wesley, Maceo Parker, Rick Gardner (de Parliament-Funkadelic) et d'autres participeront en tant que musiciens additionnels aux deux premiers albums du groupe, plus funk et cuivre que les albums suivants. De même, Abdul Ra'oof rejoint le groupe à partir du second album Too en tant que trompettiste, tromboniste et au chant. Leur troisième album, III (en) (1982), contenant le single High Hopes (en), ne rencontre pas le succès des deux précédents albums, et c'est avec leur quatrième album On the Rise (en) sorti en 1983, et produit par les légendaires Jimmy Jam et Terry Lewis que The S.O.S. Band se place à nouveau dans les bonnes places des charts US en étant pour la deuxième fois disque d'or. Le remarquable single Just Be Good to Me (en) n'est pas étranger au succès de ce quatrième album, qui oriente le groupe davantage vers un style R&B que sur le funk des trois premiers albums. Mais c'est sans doute avec le cinquième album du groupe, Just the Way You Like It , sorti en 1984 que The S.O.S. Band livre l'un de ses albums les plus aboutis et ses titres majeurs comme No One's Gonna Love You, Weekend Girl, Just the Way You Like It, suivi en 1986 par l'album Sands of Time (en) et sa pléiade de tubes comme Borrowed Love, Nothing But the Best, The Finest (en) et No Lies, titres maintes fois remixés par les plus grands DJ de l'époque. Le départ en 1987 de Mary Davis1, qui part tenter sa chance en solo, voit l'arrivée de Chandra Currelly en remplacement difficile de l'emblématique voix du groupe, reconnaissable entre toutes. Les deux albums suivant, Diamonds in the Raw (en) en 1989 et One of Many Nights (en) en 1991 ne permettront pas au groupe de se maintenir dans le gotha des groupes de R&B de l'époque. The S.O.S. Band, fer de lance du label Tabu, se sépare en 1991, après l'album One of Many Nights et quatre ans après le départ de la chanteuse emblématique du groupe, Mary Davis. Les tentatives de relance du groupe n'ont pas vraiment abouti, y compris avec le retour dans le groupe de son ex-chanteuse phare dont la carrière en solo n'a jamais vraiment décollée. En 2014, le label Tabu Records, publie une anthologie complète du groupe The S.O.S. Band dans un coffret réunissant dix CD et un livret agrémenté de textes et photos, récapitulant tous les crédits de chaque album. Les CD de 01 à 08 réunissant tous les albums, les 09 et 10 offrant une sélection des principaux singles 7" et mixes 12" (sans être toutefois complet).

Gap Gold: The Best of The Gap Band est un album des plus grands succès du groupe américain The Gap Band. Il est sortien en mars 1985 par Total Experience Records. L'album contient la plupart des singles qui ont eu un succès de 1974 à 1984.

Crédits Art Direction – Jim Schubert, Linda Halpin Bass – Sugar Bear (2) Drums – Charles Collins Engineer [Recording, Mixing] – Ken (Magic Fingers) Present* Guitar – Bobby Eli, Craig Snyder, Dennis Harris Keyboards, Piano [Electric, Acoustic] – Richie Rome Producer – Richard Rome* Strings, Horns – Don Renaldo Vocals – David Roberson*, David Scott (11), Marshall Thompson, Robert Lester, Vandy Hampton The Chi-Lites est un quatuor vocal harmonieux de soul basé à Chicago du début des années 1970, l'un des rares groupes de cette période à ne pas venir de Memphis ou Philadelphie. Le groupe est dirigé par Eugène Record, et il a onze titres classés dans le top dix des hits-parades R'n'B au début de la décennie. Le groupe se forme à la fin des années 1950 quand les Chanteurs (Record, Robert "Squirrel" Lester, et Clarence Johnson) font équipe avec Marshall Thompson et Creadel "Red" Jones des Desideros pour former The Hi-lites. Voulant faire un hommage à leur ville natale de Chicago, ils changent leur nom en Marshall and the Chi-Lites en 1964. Johnson quitte le groupe plus tard dans l'année, et leur nom est ensuite raccourcie en The Chi-Lites. Record était l'auteur-compositeur principal du groupe, même s'il collabore fréquemment avec d'autres comme Barbara Acklin. Leurs grands succès arrivent en 1971 et en 1972, avec Have You Seen Her et Oh Girl, qui est numéro un dans le Billboard Hot 100 en 1972. D'autres entrées dans les classements transatlantiques suivent, même si la production est devenue plus difficile car la composition du groupe changeait souvent. Par exemple, le chanteur basse Jones part en 1973, et est remplacé par Stanley Anderson, puis Willie Kensey, puis Doc Roberson. Peu de temps après, Eugène Record part, et David Scott et Danny Johnson entrent. Puis les changements de personnes continuent, quand Johnson est remplacé par Vandy Hampton en 1977. À ce moment, le groupe est complètement désintégré, mais il se reforme en 1980, avec le quatuor du milieu des années 1960 composé de Record, Thompson, Jones, et Lester qui reviennent ensemble. Creadel Jones part pour une seconde fois en 1982, et le groupe devient un trio. Record part encore en 1988, et un nouveau chanteur Frank Reed est recruté, considérés par beaucoup comme l'un des meilleures de l'histoire du groupe. Reed part pour des raisons inconnus, et le chanteur Anthony Watson rejoint le groupe (Lester prend le rôle de chanteur sur Oh Girl, tandis que Watson chante sur leurs autres chansons.). Depuis, le groupe contient également un membre féminin. Une fois que leurs hits étaient complètement finis, d'autres changements ont eu lieu. Vers 1989, Jones retourne encore dans le groupe, mais il meurt ensuite. Tout au long des années 1990, Watson quitte le groupe deux fois. À chaque fois, Reed reprend la place de chanteur. En 2002, le groupe était composé de Marshall Thompson, Robert Lester, Anthony Watson, et Tara Henderson. Watson part pour une troisième fois. À ce jour, les Chi-Lites sont composés du membre original Marshall Thompson (leader du groupe), Frank Reed (chant), Fred Simon (ténor et basse), (de The Lost Generation) et Tara Thompson (choriste). Robert Lester meurt le 21 janvier 2010 à l'hôpital Roseland à Chicago après une longue bataille contre un cancer du foie. Il avait 67 ans. The Chi-Lites sont intronisés au R'n'B Hall Of Fame en 2000 et au Vocal Group Hall of Fame en 2005.

Love for Sale est le deuxième album de studio du groupe Euro-Caraïbes Boney M. L'album comprend les hits "Ma Baker" (# 96 sur Billboard Hot 100, n ° 31 sur le classement Club Play Singles) et "Belfast". Il comprend également des couvertures: "Love for Sale" (de Cole Porter), "Have You Ever Seen the Rain?" (Par Creedence Clearwater Revival), et "Still I'm Sad" (par The Yardbirds). Il a été publié en vinyle et ensuite en CD.

The Nick Straker Band est un groupe anglais de musique pop de Londres, en Angleterre, dirigé par le musicien et le chanteur Nick Straker. Plusieurs membres du groupe étaient également à New Musik, et la formation du groupe est composée de Straker avec Tony Mansfield, Tony Hibbert, David McShera, Pete Hammond et Phil Towner. Leur chanson "A Walk in the Park" a dépassé le n ° 20 sur UK Singles Chart en 1980, ayant déjà été un succès important en Europe continentale en 1979. Leur chanson la plus réussie aux États-Unis, "A Little Bit of Jazz", a passé une semaine au n ° 1 sur le Hot Dance Music / Club Play Chart en 1981.

Crédits: Arranged By [Brass] – Nigel Wright Art Direction – Alwyn Clayden Bass, Backing Vocals – George Anderson Design – Green Ink Drums, Percussion – Roger Odell Engineer – Nick Smith (4) Executive-Producer – Les McCutcheon Guitar – Keith Winter Keyboards – Bill Sharpe Percussion – Simon Morton Photography By – Richard Cooke (3) Photography By [Band Shot And Inner Bag] – Paul Cox (5) Producer – Nigel Wright Saxophone – Martin Dobson Trumpet – Stuart Brookes* Vocals – Gill Saward*, Norma Lewis Groupe de jazz-funk des années 80, Shakatak est né en 1980 à Londres, Angleterre. Les fondateurs du groupe sont Keith Winter à la guitare électrique, Jackie Rawe au chant, Steve Underwood à la basse, Nigel Wright aux claviers et Dick Morrissey au saxophone. Parmi les succès du groupe, on peut nommer « Night birds » ou encore « Down on the street ». Débuts fulgurants Tout commence avec un album, lorsqu'en 1981 « Drivin' hard » de Shakatak arrive dans les bacs. Cet album contient une dizaine de titres dont sont extraits deux singles « Livin in the U.K. » ainsi que « Brazilian dawn ». Le succès est déjà présent à cette époque étant donné que ces premiers singles se classent dans les charts. Peu de temps après, ils sortent « Easier said than done » qui leur permet de mieux se faire connaître du grand public en raison de sa large diffusion à la radio. Mais ceci n'est rien, comparé à leur prochain single qui se classe au top 10 des charts du Royaume-Uni. En effet, « Night birds » est une véritable petite merveille et l'album du même titre devient même disque d'or. Grâce à ce titre, Shakatak obtient une renommée mondiale allant de l'Europe, en passant par l'Amérique du sud mais également le Japon. Vient ensuite une grande tournée mondiale avec 132 dates rien qu'en une année. Dans la foulée, Shakatak sort son troisième album « Invitations » suivi en 1983 par « Out of this world », puis « Down on the street » qui paraît en 1984. Jouissant d'une grande popularité au Japon, le groupe s'y produit à plusieurs reprises à l'occasion de concerts. Ainsi, lors de son passage au Nakano Sun Plaza Hall en 1984, Shakatak ne manque pas d'y enregistrer un album live intitulé « Shakatak Live in Japan ». A sa sortie, ce dernier comporte une quinzaine de titres dont « Dark is the night », « Sanur », « On nights like tonight » ou encore « Bitch to the boys ». A la même période, le line up de Shakatak connaît quelques bouleversements, notamment avec le départ de Jackie Rawe qui sera remplacé par Jill Saward. Shakatak au pays du soleil levant Après leur tournée mondiale qui les a emmené jusqu'au Japon, Shakatak pose ses valises, le temps d'enregistrer leur 6e album studio « Day by day ». Ce dernier est considéré comme une nouvelle étape dans la vie du groupe étant donné que chacun des membres a participé à la composition des morceaux. « Day by day » contient également un duo avec le chanteur américain Al Jarreau sur le titre phare de l'album. Peu de temps après, la chanteuse Jill Saward annonce qu'elle attend un heureux événement, le groupe en profite pour enregistrer de nouveaux albums. Ainsi, Shakatak sort deux nouveaux albums exclusivement au Japon « Into the blue » et « Golden wings », respectivement en 1986 et en 1987. Par la suite, le groupe reçoit un Silver Award à l'occasion du Festival International de la Chanson à Tokyo. Les années suivantes sont réglées comme du papier à musique avec la sortie de nouveaux albums, dont certains sont uniquement disponibles au Japon. Avec leur grande notoriété dans le pays du soleil levant, Shakatak a été récompensé du Grammy Japonais dans la catégorie du meilleur album instrumental. Composé actuellement de Bill Sharpe, George Anderson, Alan Wormald, Roger Odell et Jill Saward, Shakatak sort un énième album « Afterglow » en 2009 qui contient 13 nouveaux titres. En 2014, sort "On the corner".

Crédits: Art Direction – Bob Defrin Backing Vocals – Alfa Anderson, David Lasley, Diva Gray, Norma Jean Wright Backing Vocals [Special Guest Artist] – Luther Vandross Bass – Bernard Edwards Concertmaster – Gene Orloff Guitar – Nile Rodgers Mastered By – Dennis King Photography By – Jim Houghton Producer – Bernard Edwards & Nile Rodgers Strings [The Chic Strings] – Cheryl Hong, Karen Milne, Marianne Carroll Written-By, Arranged By, Conductor – Bernard Edwards And Nile Rodgers* We Are Family est le troisième album studio du groupe vocal R & B américain Sister Sledge, sorti le 22 janvier 1979 aux Etats-Unis et le 30 avril 1979 au Royaume-Uni chez Cotillion Records. L'album a été écrit et produit par Nile Rodgers et Bernard Edwards du groupe Chic, et comprend quatre singles à succès: la chanson titre, "He's the greatest dancer", "Lost in Music", et "Thinking of You", qui ont été samplés, remixés et réédités dans les décennies qui ont suivi la sortie de l'album. Chic a travaillé avec Sister Sledge, qui avait signé à Atlantic en 1973, à l'inspiration du président de l'Atlantique Jerry Greenberg. Nile Rodgers se souvint plus tard; "C'est pourquoi nous sommes venus avec We Are Family. [-] Tout ce qu'il a dit à propos d'eux nous a donné une photo d'eux.Vous devez vous rappeler, nous ne les avons jamais rencontrés. [-] Tout le contenu de cet album est venu à partir de ce jour avec le président [-] j'ai été fasciné par le concept de gens qui aimaient la musique qui pourrait être «gentilles filles» au milieu de toute l'ère disco. "We Are Family est l'un des deux des albums produits par Bernard Edwards et Nile Rodgers en 1979, l'autre étant le troisième album de Chic, "Risqué" avec des tubes à succès "Good Times" et "My Forbidden Lover". Nile Rodgers a écrit celui des différents albums produits par The Chic Organization pour eux-mêmes et pour d'autres, "pound for pound, je pense que We Are Family est notre meilleur album." Les voix principales de We Are Family ont été enregistrées en une seule fois par Kathy Sledge alors âgée de 19 ans. "He's the Greatest Dancer" fut le premier single de l'album et devint le premier hit du groupe, atteignant le top 10 du Billboard Hot 100 et numéro un du classement R & B. We Are Family a été remasterisé numériquement et réédité en CD par Rhino Records en 1995. We Are Family est une chanson du groupe féminin américain Sister Sledge extraite de leur album We Are Family (paru en janvier ou février 1979 aux États-Unis et en avril au Royaume-Uni). La chanson a également été publiée en single (aux États-Unis, en avril 1979). C'était le deuxième single tiré de cet album (après He's the Greatest Dancer, sortie en février).

...En 1983, sortie de l'album "Scandalous" qui marquera le retrait du groupe. Cet album contient cependant "Looking at Midnight", "New Dimension" et "State of love".Leee John prend un break en 1984 pour se consacrer à la comédie et à la télévision...

Touchthe world est le quatorzième album studio Earth, Wind & Fire , produit par le leader du groupe Maurice White pour les Productions Kalimba, et sorti en 1987 sur Columbia Records . Touch the world a été certifié disque d'or aux États-Unis pour les ventes de plus de 500.000 exemplaires par la RIAA .

Membres: Precious Wilson(chant, 1975-79 et depuis 1997) Leslie Johnson (chant, 1974-75) Kim Davis (chant, 1980) Jane Jochen (chant; 1980-85) Greg Perrineau (guitare) Morgan Perrineau (basse) Gerry Williams (clavier) Eric Kingsley (batterie)

Kool and The Gang est un groupe de jazz-funk et de funk formé à Jersey City dans le New Jersey, aux États-Unis en 1964. Groupe phare des années 1970 et déjà grand inspirateur des grands courants musicaux mondiaux qui allaient suivre tels le rap et surtout, le R'n'B. Membres: Bass – Robert "Kool" Bell Drums – George Brown Guitar – Charles Smith Saxophone, keyboards – Khalis Bayyan Keyboards – Curtis "Fitz" Williams Vocals, percussion – James "J.T." Taylor Alto saxophone – Dennis "Dee Tee" Thomas Trombone – Clifford Adams Trumpet – Michael Ray, Robert "Spike" Mickens Additional musicians – Alex Williams, Kendal Stubbs, Mark Attalla Backing vocals – Barbara Hernandez, Bert Clardy, Jeff Clardy, Kendal Stubbs, Lisa Foster, Starleana Young Drum programming – Kendal Stubbs Synthesizer and creative software programmed by – Randy Weber

Junior Giscombe (de son vrai nom Norman Giscombe), plus simplement appelé Junior est un chanteur anglais né le 10 novembre 1961 à Londres. Son titre le plus connu, Mama Used to Say, sorti en 1982, a été au top 10 des charts anglais cette même année. Suite à ce triomphe , il enregistra d'autres albums et singles qui n'atteindront pas le succès de Mama Used to Say, mais obtiendra un autre tube en 1987, Another Step (Closer to You), en duo avec Kim Wilde, qui se classera dans le Top 10 des charts britanniques. Le dernier titre du chanteur à s'être bien classé, Then Came You, date de 1992, mais toutefois, il continue régulièrement à enregistrer des albums depuis cette période.

Imagination est un groupe d'electro-funk créé par Leee John, Ashley Ingram et Errol Kennedy à Londres en 1981. Leee John est élevé à New York City où il fait des chœurs pour les Delfonics et les Chairmen Of The Board. Détecté par Trevor Horn, il rencontre Ashley Ingram lors d'une audition et ils forment ensemble le duo Fizz. De retour en Angleterre ils rencontrent Errol Kennedy, le batteur du groupe américain Midnight Express avec lequel ils vont créer le trio funk Imagination. Le nom Imagination est un hommage à l'une des plus célèbres chansons de John Lennon : Imagine. Le premier album, Body Talk (1981), connaît un succès immédiat, et leur plus gros hit reste Just an illusion, classé no 2 au Royaume-Uni et au Top 10 un peu partout dans le monde (extrait de leur deuxième album, "In the heat of the night"1982), Music and lights, extraite du même album, également fait partie des tubes des années '80.

Comme de nombreux pianistes de jazz, Hancock dispose d'une formation musicale classique dès l'âge de sept ans. Très précoce, il joue le premier mouvement du Concerto No. 5 en ré majeur de Mozart à onze ans lors d'un concert pour jeunes avec le Chicago Symphony. Durant son adolescence, Hancock n'a pas de professeur de jazz mais découvre cette musique grâce aux enregistrements d'Oscar Peterson et de George Shearing. Il écoute également d'autres pianistes comme McCoy Tyner, Wynton Kelly et Bill Evans et étudie les pièces de Miles Davis, John Coltrane et Lee Morgan. Après avoir étudié la composition musicale pendant trois ans et demi au Grinnell College, il est engagé par Donald Byrd en 1961. Il finira plus tard ses études à Grinnel en Génie électrique et musique en 1971. Le pianiste se fait rapidement une réputation et joue notamment avec Oliver Nelson et Phil Woods. Il enregistre son premier album en tant que leader, Takin' Off, pour Blue Note en 1962 avec notamment le saxophoniste ténor Dexter Gordon et le trompettiste Freddie Hubbard. Le morceau Watermelon man offrira un hit à Mongo Santamaria mais l'album est surtout remarqué par Miles Davis qui monte à ce moment un nouveau groupe... ...De 1978 à 1982, Hancock enregistre de nombreux albums jazz marqué par la musique pop et disco, avec Sunlight sur lequel jouent les musiciens Tony Williams et Jaco Pastorius. Il obtient un tube en Angleterre avec le titre "I Thought It Was You" sur lequel il chante à travers un Vocoder qui ne convainc pas les critiques. Il continue avec le vocoder avec Feets, Don't Fail Me Now qui lui offre un autre tube "You Bet Your Love". Ses albums suivant Monster (1980), Magic Windows (1981), et Lite Me Up (1982) font partie de ses albums les moins bien accueillis par la critique et par marché, à l'époque saturé de ces hybrides pop-jazz, notamment ceux de son ancien collègue Freddie Hubbard. Hancock lui même a un rôle limité dans ces albums, laissant le chant, la composition et parfois la production à d'autres...

Earth, Wind and Fire est un groupe de funk originaire de Chicago dans l'Illinois. Le groupe a été formé en 1969 à l'initiative de Maurice White. Sa plus notable particularité a été sa capacité à innover en introduisant et en mélangeant de façon savante et inédite des éléments issues des traditions musicales africaines, brésiliennes, cubaines et caribéennes à son funk caractérisé par une section de cuivre de grande qualité (les Phoenix Horns) et des arrangements empruntés aussi bien au jazz qu'à la musique symphonique. La musique d'Earth, Wind and Fire a d'ailleurs parfois été qualifiée de « Funk Symphonique ». Le groupe s'est également démarqué par la complémentarité de ses deux chanteurs Maurice White et Philip Bailey (dont les remarquables capacités vocales couvrent plusieurs octaves).

À la fin des années 1970, le groupe emprunte, à la demande de leur maison de disques, une voie plus grand public en réalisant des titres disco-funk, correspondant au "format radio", très en vogue à l'époque. Earth, Wind and Fire atteint son apogée avec les albums Gratitude (1975), All'n all, Best of volume 1, I am de 1979, année où ils rempliront Wembley cinq soirs de suite. Dès lors, les maisons de disques voudront s'accaparer les décisions artistiques du groupe pour qu'il continue de produire des hits. Mais ceci précipitera le déclin du groupe, puis la séparation de ses membres. Petit à petit, les éléments du groupe s'en vont, les tournées épuisent le leader Maurice White et l'année 1984 marquera le premier arrêt du parcours du groupe.

All 'N All est le huitième album studio réalisé par le groupe américain Earth, Wind & Fire , sorti en 1977 sur Columbia Records . Il est l'un des albums les plus connus du groupe et a été certifié triple disque de platine aux États-Unis avec la vente de trois millions d'exemplaires par la RIAA , de l'or au Canada par Music Canada et de l'argent au Royaume-Uni par le British Phonographic Industry . All 'N All atteint le numéro trois sur Pop Album chart et est resté numéro un sur le Black Album Chart pendant neuf semaines. All 'N All a également été le best-seller de R & B Album 1978. L'album comporte des chansons à succès telles que,"I'll Write A Song For You"," Serpentine Fire ", "Love's Holiday" , et le hit pop" Fantasy ". Une version remasterisée existe depuis 2002.

...L'album suivant, C'est chic, sorti le 8 novembre 1978, marquera la consécration mondiale du groupe avec le tube Le Freak, qui dépasse les deux millions d’exemplaires et deviendra no 1 pendant trois semaines. C’est le single le plus vendu de l'histoire d'Atlantic. À partir de cet album, Norma Jean est remplacée par la chanteuse Luci Martin, accompagnée d’Alfa Anderson... L’empreinte sur les succès de l’époque: Le groupe participe par ailleurs à des albums d’autres artistes, notamment celui de sa première chanteuse, Norma Jean (Norma Jean en 1978) ou des Sister Sledge (dont le célèbre We are family en 1979). Ils réalisent aussi le tube européen Spacer pour Sheila B.Devotion fin 1979 et un album pour Debbie Harry, ex-chanteuse de Blondie (Koo koo, en 1981), qui sera disque d'or aux États-Unis. Leur collaboration la plus déterminante reste l’album diana (1980) pour Diana Ross, avec un titre classé n°1 pop, R&B et disco, Upside down, suivi de trois autres titres dont I'm coming out. En 2003, une réédition de cet album publie à côté du mixage habituellement commercialisé le mixage prévu par Chic mais non avalisé par Motown, la maison de disques de Diana Ross. Les différences éloquentes sont révélatrices de la manière de travailler d'Edwards et Rodgers...

Déjà en 1980 Donna Summer est assimilée à son âge d'or, même si elle a mutiplié les déclarations et les actes pour le rejeter. C'est la fin d'une époque et les autres simples de The wanderer seront assez mal classés en 1981 : Cold Love sera no 33 et Who Do You Think You're Fooling no 40. Il faut dire que The Wanderer est fait de mélodies louchant vers le rock et réinterprétant Hot Stuff, si l'on excepte le synthétique Grand Illusion. Elle change d'ailleurs fondamentalement (comme le montre le gospel I Believe In Jesus) et commence à mettre en avant ses récentes convictions religieuses de « born-again Christian », ce qui est mal accepté de son public traditionnel. The Wanderer se vend cependant bien (onzième simple le plus vendu de sa carrière) et Cold Love se maintient honorablement (à la dix-septième place, juste avant Walk Away, dix-huitième). L'album est disque d'or.

Donna Summer continue sur sa lancée avec le sans âme Once upon a time, album claustrophobique vite réalisé qui se veut être un conte de fées moderne. Après la parution de ce lp en 1977, devenu disque d'or, elle classe un simple en janvier 1978, I Love You (no 37). Auparavant, Rumour Has It, le seul titre à surnager de l’ensemble, avait été no 1 disco (pendant cinq semaines à partir du 17 décembre) mais seulement no 21 r'n'b et no 53 pop. Une chanson est assez réussie, Now I Need You, avec des choristes en contrepoint. Par ce disque double, le premier d'une longue liste, elle avait voulu prouver qu'elle pouvait écrire autre chose que des albums contenant une poignée de chansons rallongées. Elle était aussi plus ou moins contrainte de faire des disques doubles par son contrat signé en septembre 1977. En effet elle avait signé un contrat stipulant qu’elle devait sortir neuf albums sur une période deux ans, tous devant être réalisés par Moroder et Bellotte. Ce chiffre délirant pouvait être réduit à quatre albums doubles et un simple, ce qu’elle fit en gros.

Les albums suivants, A Love Trilogy et Four Seasons Of Love, parus tous deux en 1976, montrent une grande fidélité à l’égard de Love to Love You Baby. Ces deux LP sont aussi disques d'or. Le premier single tiré de A Love Trilogy est une reprise de Barry Manilow, Could It Be Magic, qui sur l'album est précédée d'une sulfureuse intro, Prelude to Love. Cette version très réussie est cependant beaucoup plus commerciale que la version originale. Suit Try Me, I Know We Can Make It, morceau de près de 18 minutes, condensé en un peu plus de 4 minutes pour le single. (On la retrouvera par la suite, avec Could It Be Magic sur la bande originale du film Looking for Mr Goodbar). La réalisation artistique était jusqu'alors surtout le fait de Pete Bellotte, mais à partir de maintenant, Giorgio Moroder prend plus d'importance déclarée.

Love to Love You Baby Un titre supplémentaire connaît par la suite une bonne fortune, Love to Love You. C'est à l'origine un simple uniquement sorti en Europe (chez Groovy aux Pays-Bas avec Need-a-Man Blues en face 2). Ce titre court devient Love to Love You Baby et dépasse le quart d'heure après que lors d'une fête privée le patron de Casablanca, Neil Bogart, avait été obligé de le passer et de le repasser à la demande de ses invités. Les réalisateurs artistiques de Summer lui concoctent alors une nouvelle formule qui aboutit à l'album Love to love baby (1975) où la chanson-titre est remixée. Le succès, testé d'abord dans les discothèques françaises, est immense et cette chanson fait date de par l'audace du concept : pendant plus de 16 minutes, Summer soupire des paroles clairement érotiques alternant avec de longs moments dévolus aux choristes et aux musiciens (basse, synthétiseur, violons) sur fond de grosse caisse envahissante, lente et sourde. C'est le triomphe d'une petite production incluant à peine une quinzaine de personnes, qui a enregistré le disque en deux mois (mai-juin 1975). Mais c'est surtout le triomphe d'un concept né sous la houlette de deux réalisateurs artistiques - Pete Bellotte et Giorgio Moroder - et l'apparition d'un son immédiatement identifiable par son utilisation du synthétiseur -le son de Munich (Parallèlement Levay et Kunze lançaient les Silver Convention qui avec leur no 1 Fly Robin Fly procèdent de la même école qui a inventé l'Eurodisco). Love to love you baby devient un énorme hit dans les boîtes gays et marque l'avènement du disco tandis que de nombreuses radios refusent de la passer vu son caractère trop sexuel. Néanmoins c'est le début du raz-de-marée Donna Summer. Love to love you baby rentre dans les listes américaines en décembre 1975 et devient la meilleure vente pendant quatre mois. Classée no 2 en février 1976, elle dépasse rapidement le million de ventes. Au Royaume-Uni, elle est classée le 17 janvier 1976 et monte jusqu'à la cinquième place. Le 19 février le simple est disque d'or aux États-Unis tout comme le lp du même nom (no 6 R&B et no 11 pop). Love to love you baby est aussi le cinquième simple le plus vendu de Summer tout au long de sa carrière. Il existe trois versions sensiblement différentes du LP : la version parue chez Oasis et distribuée par Atlantic, une autre édition, chez Casablanca (qui remplace la reprise de Full of emptiness et The hostage par Virgin Mary) et enfin une troisième avec The hostage et Lady of the night. Full of emptiness est un titre repris de Lady of the night. Le 45 tours est lui sorti avec Need-a-man blues en face 2 ou avec une deuxième partie de 3:27 du hit –la première faisant 4:57.

Love to Love You Baby Un titre supplémentaire connaît par la suite une bonne fortune, Love to Love You. C'est à l'origine un simple uniquement sorti en Europe (chez Groovy aux Pays-Bas avec Need-a-Man Blues en face 2). Ce titre court devient Love to Love You Baby et dépasse le quart d'heure après que lors d'une fête privée le patron de Casablanca, Neil Bogart, avait été obligé de le passer et de le repasser à la demande de ses invités. Les réalisateurs artistiques de Summer lui concoctent alors une nouvelle formule qui aboutit à l'album Love to love baby (1975) où la chanson-titre est remixée. Le succès, testé d'abord dans les discothèques françaises, est immense et cette chanson fait date de par l'audace du concept : pendant plus de 16 minutes, Summer soupire des paroles clairement érotiques alternant avec de longs moments dévolus aux choristes et aux musiciens (basse, synthétiseur, violons) sur fond de grosse caisse envahissante, lente et sourde. C'est le triomphe d'une petite production incluant à peine une quinzaine de personnes, qui a enregistré le disque en deux mois (mai-juin 1975). Mais c'est surtout le triomphe d'un concept né sous la houlette de deux réalisateurs artistiques - Pete Bellotte et Giorgio Moroder - et l'apparition d'un son immédiatement identifiable par son utilisation du synthétiseur -le son de Munich (Parallèlement Levay et Kunze lançaient les Silver Convention qui avec leur no 1 Fly Robin Fly procèdent de la même école qui a inventé l'Eurodisco). Love to love you baby devient un énorme hit dans les boîtes gays et marque l'avènement du disco tandis que de nombreuses radios refusent de la passer vu son caractère trop sexuel. Néanmoins c'est le début du raz-de-marée Donna Summer. Love to love you baby rentre dans les listes américaines en décembre 1975 et devient la meilleure vente pendant quatre mois. Classée no 2 en février 1976, elle dépasse rapidement le million de ventes. Au Royaume-Uni, elle est classée le 17 janvier 1976 et monte jusqu'à la cinquième place. Le 19 février le simple est disque d'or aux États-Unis tout comme le lp du même nom (no 6 R&B et no 11 pop). Love to love you baby est aussi le cinquième simple le plus vendu de Summer tout au long de sa carrière. Il existe trois versions sensiblement différentes du LP : la version parue chez Oasis et distribuée par Atlantic, une autre édition, chez Casablanca (qui remplace la reprise de Full of emptiness et The hostage par Virgin Mary) et enfin une troisième avec The hostage et Lady of the night. Full of emptiness est un titre repris de Lady of the night. Le 45 tours est lui sorti avec Need-a-man blues en face 2 ou avec une deuxième partie de 3:27 du hit –la première faisant 4:57.

Tournant d'I Feel Love Elle co-écrit toutes les chansons de l'album suivant (sauf une reprise) qui est I Remember Yesterday, album où son style évolue. Ici chaque chanson représente une époque de la musique populaire américaine, des années 1920 au « futur ». De cet album disque d'or, elle tire trois singles, I Remember Yesterday, Love's Unkind et I Feel Love (la chanson symbolisant avec adéquation le son du futur). À l'origine face 2 du simple Can't We Just Sit Down (And talk it over), no 20 soul, I Feel Love mènera une carrière indépendante à partir d'un no 1 disco (trois semaines en juillet) et d'un no 1 en Angleterre. En novembre il est no 6 pop et no 9 r'n'b. Il se vend aux États-Unis à plus d'un million d'exemplaires. Comme d'habitude, un titre, ici le remarquable I Feel Love, occulte quelque peu le reste de l'album. I Feel Love existe aussi en une version rallongée de deux minutes supplémentaires, sans grand intérêt vu qu'elle en répète simplement la dernière partie (système inauguré avec Down, Deep Inside, chanson avec laquelle elle partage d'ailleurs le maxi). I Feel Love sera néanmoins un classique du disco et Patrick Cowley la remixe pour Disconet (le maxi sortira même officiellement en 1982) tandis que Jimmy Somerville et Marc Almond la reprennent en 1984, en attendant de nombreuses reprises et des remixes en 1995. La méthode choisie par Moroder et Bellotte laisse perplexe et l’idée de concept, qui a apparemment présidé à l’élaboration du disque, est bien mince. Le premier titre est I Remember Yesterday, rappelant les années 1940 des « big bands » et Glenn Miller. Suit Love's Unkind, assez difficile à placer chronologiquement mais qui représenterait plutôt les années 1950. Back In Love Again rend hommage aux Supremes et à la Motown des années 1960. La face se termine par I Remember Yesterday (reprise), procédé de répétition irritant qui n’apporte rien. La face 2 contient Black Lady (les années 1920), Take Me (le disco des années 1970), Can't We Just Sit Down (And talk it over) (la ballade apparemment intemporelle) et I Feel Love (le futur). Comme on le voit, le fil chronologique n’est pas des plus convaincants surtout que l’uniformité de l’orchestration n’aide pas à bien faire les différences entre les styles. Les deux seules chansons à échapper au moule sont les deux dernières, qui ont d’ailleurs partagé le même 45 tours. Can't We Just Sit Down (And talk it over) est une carte de visite honorable pour prouver que Donna Summer sait chanter au-delà des soupirs et de la petite voix de ses trois premiers albums. De plus, cette chanson, qui est une reprise de David Soul (le blond de la série télévisée Starsky & Hutch l’avait sortie peu avant sur son album de 1977) est assez jolie. L’autre chanson qui marque est bien sûr I Feel Love. Mais n’est-il pas ironique de voir que cette chanson qui a eu en effet un rôle fondamental dans les styles à venir de la musique pour danser se trouve sur un album dévolu à des genres musicaux passés ? D’ailleurs on peut se demander si Donna Summer se souvient bien d’hier, de son propre passé, puisque ce disque s’inscrit sous une double rupture : elle montre qu’elle sait chanter (ce qui n’allait pas de soi auparavant) et elle inaugure le disco sans instruments autres que des synthétiseurs. En Angleterre un 12" est édité avec Back In Love Again, Try Me, I Know We Can Make It et Wasted. Un 45 tours de cette chanson sort en Allemagne chez Atlantic avec l’inédit A Man Like You en face 2. Le 45 tours allemand connaît un nouveau pressage en 1978 avec I Remember Yesterday en face 2. Can't We Just Sit Down (And talk it over) est aussi sorti en 45 tours promotionnel chez Casablanca aux États-Unis avec deux versions sensiblement différentes sur chaque face : une version de 3:42 et une autre de 3:56. Parallèlement Casablanca sort au Mexique un 45 tours avec quatre titres, système qui sera repris par la suite. On y trouve Love To Love You Baby, I Feel Love, Try Me, I Know We Can Make It et Take Me.

...Son plus gros succès commercial est la bande originale du film autobiographique Purple Rain, publiée en 1984 et vendu à plus de 20 millions d'exemplaires1... ... Son projet étant de créer son propre film qui raconterait son histoire. Quand il exposa son projet à Warner Bros l'idée fut entièrement rejetée. Mais Prince était déterminé et comptait à tout prix aller au bout de ce projet. Se sont les managers de Prince qui ont financé en grande partie le tournage du film réalisé à Minneapolis en novembre 1983. Prince s'est investi énormément dans ce projet, il était présent pour le tournage de toutes les scènes et si un détail ne lui convenait pas il était prêt à refaire la prise jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Tous ces efforts ne seront pas inutiles car, à la sortie du film, le 27 juillet 1984, les portes de la gloire allaient s'ouvrir pour lui. Le film rapporta 71 millions de $, la bande-son du film s'est vendue 24 millions de copies dans le monde, les singles de l'album rencontrent eux aussi le succès et, pour finir, le Purple Rain Tour sera pour l'époque l'une des tournées les plus rentables à travers les États-Unis 1,7 millions de billets sont vendus. Prince enchaîna 3 succès en un week-end et 4 en ajoutant la tournée par la suite. Purple Rain reçut l'oscar de la meilleure musique pour un film-musical et l'album obtiendra 6 récompenses comptant 2 Grammy, 3 prix aux American Music Awards et un aux Academy Awards avant d'être mis 72e dans le classement des 500 plus grands albums de tous les temps par le magazine Rolling Stone...

Chic est un groupe de disco et de funk américain fondé en 1976 par le guitariste Nile Rodgers et le bassiste Bernard Edwards. Le groupe Chic est surtout celui du bassiste Bernard Edwards et du guitariste Nile Rodgers, tous deux nés en 1952. Après des débuts dans un groupe de R'n'B, ils décident en 1976 de créer leur propre formation. D'abord sous le nom de "The Big Apple Band" avec Bobby Carter au chant en 19761, ensuite changé pour des raisons de propriété du nom (Walter Murphy and the Big Apple Band existait déjà) : Edwards trouve le nom, « Chic », et Rodgers écrit avec lui. Avec Tony Thompson (ex-batteur de Patti LaBelle) et la chanteuse Norma Jean Wright, ils enregistrent des maquettes qui seront refusées par de nombreuses compagnies avant d’être acceptées par Atlantic. Le premier succès commercial de Chic, le maxi Dance, dance, dance (Yowsah, yowsah, yowsah), contient les ingrédients qui feront la fortune du groupe : la basse et la batterie lourdes, la guitare sautillante, les violons rythmés, les voix sans passion… L’expression « Yowsah, yowsah, yowsah » fait référence aux marathons de danse des années 1920 auxquels participaient les Noirs. La chanson se retrouve naturellement sur le premier album du groupe, Chic, sorti le 22 novembre 1977.

Cant Get Enough est le troisième album américain autoproduit de R & B du chanteur Barry White , sorti en 1974.

Credits? Arranged By [Horn, Strings] – Erich Bulling (tracks: B4, C2), Tom Tom 84 (tracks: B1, B2, C3, D1,) Arranged By [Horn] – Jerry Hey (tracks: A1, A2 to A4, B3, D2, D3, C1) Arranged By [Strings] – David Foster (tracks: A1, A4, B3, C1, D1, D3), James Newton Howard (tracks: A2), Jerry Peters (tracks: C4) Art Direction, Design – Roger Carpenter (2) Bass – Verdine White Bells [Uncredited], Bells [Orchestra Bells, Uncredited] – Gary Coleman Cello – Albert Gill, Buell Neidlinger, Dennis Karmazyn, Earl Madison, Frederick Seykora, Jacqueline Lustgarten, Larry Corbett, Marston Smith, Louise Zeyen*, Miguel Martinez (2), Olivier Nils*, Nina Deveritch, Raymond Kelley*, Ronald Cooper Concertmaster – Assa Drori, Harris Goldman, Janice Gower Drums, Percussion – Fred White Engineer – Ernie Sheesley, Franklin Allen, Geoff Irons, George Morgan, Jeff Borgeson, John Silcott, Mark Touchy, Ray Gonzales, Reuben (2), Robert Wolstein, Ron Pendragon, Steve Jackson (2), Tchad Thompson, Wally Heider French Horn – Alan Robinson, Arthur Maebe*, George Price, Marilyn Robinson, Vincent DeRosa Guitar – Johnny Graham, Marlo Henderson, Steve Lukather Harp – Dorothy Jeanne Ashby* Illustration [Photo-light Illustration] – Kevin Lyman (2) Keyboards – David Foster, Garry Glenn Keyboards, Organ – Jerry Peters Lyrics By – Brenda Russell (2) (tracks: C1), Maurice White (tracks: A1, C1), Philip Bailey (tracks: A1) Mastered By – Michael Reese* Other [Casting] – Kathy Kowles Other [Exclusive Representation] – Cavallo-Ruffalo Management Percussion – Paulinho Da Costa, Ralph Johnson Photography By [Assistant] – C. Ness, Francie Moore Photography By [Inside Cover] – Bruce Talamon Photography By [Outside Cover, Poster] – Jim Shea Piano, Synthesizer, Programmed By [Synthesizers] – Larry Dunn Producer, Vocals, Drums, Kalimba – Maurice White Recorded By – George Massenburg Recorded By, Mixed By – George Massenburg, Ken Fowler Saxophone [Uncredited] – Jeff Clayton (3) Saxophone, Flute – Fred Jackson Jr.*, Lawrence Williams* Tenor Saxophone – Andrew Woolfolk Tenor Saxophone, Alto Saxophone, Baritone Saxophone – Don Myrick Trombone – William Reichenbach*, Fred Wesley, George Bohanon, Louis Satterfield Trumpet – Bobby Bryant, Chuck Findley, Gary E. Grant*, Jerry Hey, Michael Harris, Nolan Smith Jr.*, Oscar Brashear, Steve Madaio Trumpet, Flugelhorn – Rahmlee Michael Davis Tuba – John Johnson* Typography [Typographic Design] – Jim Wood (5) Viola – Allan Harshman, Barbara Thomason, Brenton Banks, Bryana Sherman, David Schwartz, Gareth Nuttycombe, Harry Hyams, Herschel Wise, James Ross*, Laury Woods, Leanna Sherman, Marilyn Baker, Patricia Matthews, Renita Koven, Roland Kato, Rollice Dale, Ronald Strauss* Violin – Arkady Shindelman, Barry Socher, Bernard Kundell, Don Palmer*, Endre Granat, Gina Kronstadt, Glenn Dicterow, Haim Shtrum, Harold Dicterow, Henry Ferber, Henry Roth, Irvin Giller, Isabelle Daskoff, Jack Gootkin, Janet Lakatos, Jerome Reisler, Jerome Webster, John Wittenburg*, Joseph Goodman, Joseph Shoenbrun, Joy Lyle, Karen Jones (2), Mari Tsumura Botnick*, Mark Cargill, Marvin Limonick, Mary Lundquist, Michael Markman, Michael Nowack*, Norman Carr, Pavel Farkas, Reginald Hill, Bobby Dubow*, Robert Jung (2), Robert Lipsett, Ron Clark, Ronald Folsom, Shari Zippert, Sheldon Sanov, Sid Page, Sidney Sharp, Vicky Sylvester, William Henderson (2), William Kurasch Vocals, Congas, Percussion – Philip Bailey Written-By – Al McKay (tracks: A1, A3, B2), Arlene Matza (tracks: D2), Brenda Russell (2) (tracks: A4), David Foster (tracks: A4), Eddie Del Barrio* (tracks: B1, C2), Fred White (tracks: A3), Garry Glenn (tracks: B3, C3, D1), Howard McCrary (tracks: D2), James Newton Howard (tracks: A2), Jean Hancock (tracks: C4), Jerry Peters (tracks: C4), Larry Dunn (tracks: A1, A3, C1, C3, D3), Maurice White (tracks: A1 to B3, C1 to C3, D1 to D3), Philip Bailey (tracks: A3, B1, B4, C2, D3,), Ralph Johnson (tracks: A1), Ross Vannelli (tracks: B4), Roxanne Seeman (tracks: C2), Valerie Carter (tracks: A2), Verdine White (tracks: A1, A3, C1, D3) Earth, Wind and Fire est un groupe de jazz-funk originaire de Chicago dans l'Illinois. Le groupe a été formé en 1969 à l'initiative de Maurice White. Sa plus notable particularité a été sa capacité à innover en introduisant et en mélangeant de façon savante et inédite des éléments issues des traditions musicales africaines, brésiliennes, cubaines et caribéennes à son funk caractérisé par une section de cuivre de grande qualité (les Phoenix Horns) et des arrangements empruntés aussi bien au jazz qu'à la musique symphonique. La musique d'Earth, Wind and Fire a d'ailleurs parfois été qualifiée de « Funk Symphonique ». Le groupe s'est également démarqué par la complémentarité de ses deux chanteurs Maurice White et Philip Bailey (dont les remarquables capacités vocales couvrent plusieurs octaves).

Sprits Having Flown est le quinzième album studio des Bee Gees, sorti en 1979. Sorti après le succès de la bande originale Saturday Night Fever, il contient les trois singles nos 1 aux États-Unis Tragedy, Too Much Heaven et Love You Inside Out. La Bee Gees mania déferle dans le monde, le groupe est partout dans les médias, les radios et ils offrent la tournée américaine intitulée "Spirit Tour" à leurs fans où Andy Gibb (la nouvelle idole des adolescentes) leur jeune frère se joint à eux sur scène pour fêter la gloire des frères Gibb. Musiciens: Barry Gibb : chant, guitare Robin Gibb : chant Maurice Gibb : chant, basse Blue Weaver (en) : claviers Alan Kendall (en) : basse, guitare Dennis Bryon : batterie Neal Bonsanti : cuivres Gary Brown : saxophone Harold Cowart : basse Kenneth Faulk : cuivres Albhy Galuten (en) : synthétiseur, basse Peter Graves : cuivres Joe Lala (en) : percussions Lee Loughnane (en) : cuivres Herbie Mann : flûte James Pankow (en) : cuivres Walter Parazaider (en) : cuivres Bill Purse : cuivres Whit Sidener : cuivres George Terry : guitare Stanley Webb : cuivres Daniel Ben Zubulon : percussions

Credits: Arranged By – Dave Roberson (tracks: A3, B1, B5), Gordon Camp (tracks: A3, B1, B5), Kevin McCord (tracks: A3, B1, B5), Rudy Robinson (tracks: A1, A2, A4, B2 to B4) Strings – Rudy Robinson

Off the Wall est le cinquième album solo de Michael Jackson, paru le 10 août 1979. Produit par Quincy Jones, c'est le premier album solo de Michael Jackson sur le label Epic/CBS (devenu en 1991 Sony Music). Cet album a été enregistré à Los Angeles, les premières sessions s'étant déroulées au studio 3 Cherokee (qui a fermé ses portes en 2007 après 35 ans d'existence), le lundi 4 décembre 1978, jusqu'au dernier jour de mixage, le dimanche 3 juin 1979, aux studios Westlake au 7265 Santa Monica Boulevard, à West Hollywood. Il a été masterisé par Bernie Grundman le mardi 17 juillet 1979, aux studios A&M recording, toujours à Los Angeles. Après quatre albums solo chez Motown, Michael Jackson se détache de l’univers familial pour prendre son envol et entre en contact avec Quincy Jones, qu'il avait connu lors du tournage de The Wiz. Quincy Jones dira plus tard « J'ai dit à Michael : Ne t'inquiète pas, j'adore quand on me sous-estime : c'est là que je suis le meilleur. Et finalement cela s'est révélé être vrai ». Sorti trois semaines avant le 21e anniversaire de Michael, Off the Wall est le 1er album solo de Michael Jackson en tant qu’adulte, son 1er chez le label Epic, et sa 1re collaboration avec le légendaire producteur Quincy Jones. Off the Wall mélange harmonieusement funk, disco, pop et soul, créant ainsi un album inoubliable, dévoilant au passage l’étendue de la voix du chanteur. Quincy Jones décide de faire appel à Rod Temperton, Paul McCartney et choisit l'un des meilleurs bassistes du monde Louis Johnson, du groupe funk The Brothers Johnson, qui travaillera avec Michael sur son prochain album Thriller. Off the Wall a non seulement fait de Michael Jackson une immense star, mais a aussi battu des records. À cette époque, ce disque a été le premier, pour un artiste solo, à obtenir 4 titres classés dans le Top 10, record qu'il a lui-même battu ensuite. Le 1er titre de l’album "Don't Stop 'Til You Get Enough" est entièrement chanté en falsetto. Le mid-tempo aux synthétiseurs funky, "Rock With You", est resté 4 semaines no 1 aux États-Unis. Michael Jackson joue la carte de l’émotion avec "She's Out Of My Life" : vers la fin de la chanson, on peut même entendre des vibrations dans sa voix, comme s’il pleurait. Premier album produit par Quincy Jones pour Michael Jackson, Off the Wall a été un triomphe pour le tandem Jackson-Jones. L'album remporte un succès mondial et s'est vendu, à ce jour, à plus de 26 millions d'exemplaires à travers le monde. L'album Off the Wall est disponible dans le coffret 5 CD The Collection, sorti en 2009. Credits: Alto Saxophone, Tenor Saxophone, Flute, Woodwind – Larry Williams (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Arranged By [Strings] – Benjamin Wright Backing Vocals – Augie Johnson, Jim Gilstrap, Mortonette Jenkins, Paulette McWilliams, Zedric Williams Baritone Saxophone, Tenor Saxophone, Flute, Horn – Kim Hutchcroft (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Bass, Arranged By [Rhythm] – Louis Johnson (tracks: A1, A3 to B6) Co-producer – Michael Jackson (tracks: A1, A3) Concertmaster – Gerald Vinci (tracks: A1, A2, A4, B3, B4) Design – Mike Salisbury Drums – John Robinson (2) (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Engineer [Assistant] – Frank "Cheech" Damico*, Ed Cherney, Erik Zobler, Mitch Gibson, Rick Ash, Steve Conger Guitar – David Williams (4) (tracks: A1, A2, B1, B6), Marlo Henderson (tracks: A1, A2, B1, B2, B5, B6), Melvin "Wah Wah" Watson (tracks: A4, B2, B5) Keyboards – Michael Boddicker (tracks: A2, B1, B4) Keyboards, Clavinet, Piano, Arranged By [Rhythm] – Greg Phillinganes Mastered By – Bernie Grundman Mixed By, Engineer – Bruce Swedien Orchestra – Seawind Horns, The (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Percussion – Paulinho Da Costa (tracks: A1, A3, A4, B1, B4, B6) Photography – Steve Harvey Producer, Arranged By [Rhythm] – Quincy Jones Strings – Gerald Vinci (tracks: A1, A2, A4, B3, B4), Johnny Mandel Trombone – Bill Reichenbach (2) (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Trumpet – Gary Grant (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Trumpet, Flugelhorn, Arranged By [Horn] – Jerry Hey (tracks: A1 to B2, B4 to B6) Vocals, Backing Vocals, Arranged By [Vocals, Rhythm, Percussion] – Michael Jackson Written-By – Carole Bayer Sager (tracks: B5), David Foster (tracks: B5), Louis Johnson (tracks: A4), Michael Jackson (tracks: A1, A3, A4), Paul McCartney (tracks: B2), Stevie Wonder (tracks: B4), Susaye Greene-Browne* (tracks: B4), Tom Bahler (tracks: B3) Written-By, Arranged By [Rhythm, Vocals] – Rod Temperton (tracks: A2, B1, B6)

The Final est une compilation sortie en 1986, qui résume la carrière du duo pop britannique Wham!. L'album n'a pas été initialement publié en Amérique du Nord, où Wham sortit à la place son troisième et dernier album studio Music From The Edge of Heaven. Quatre chansons de cet album figurent sur cette compilation. La version double LP de l'album inclut également la face B du single Club Tropicana, Blue (Armed With Love). Credits: Arranged By – George Michael (tracks: B1 to D4) Engineer – Chris Porter Producer – George Michael (tracks: A2, A4 to D4), Steve Brown (tracks: A2 to A4) Written-By – Andrew Ridgeley (tracks: A1, A4, B2), George Michael (tracks: A1 to D2, D4)

Credits: Alto Saxophone – Dennis Thomas* Art Direction – M. Doud* Backing Vocals [Female] – Something Sweet Backing Vocals [Male] – Dennis Thomas*, Earl Toon, Jr., George Brown, James "J.T." Taylor*, Robert "Kool" Bell*, Ronald Bell Bass – Robert "Kool" Bell*, Ronald Bell Design – Joe Kotleba Drums – George Brown Engineer [Recording] – Jim Bonnefond Guitar – Claydes Smith Keyboards – Adam Ippolito, Eumir Deodato, Ronald Bell Lead Vocals – James "J.T." Taylor* Mastered By – Tom Coyne Mixed By – Eumir Deodato, Gabe Vigorito, Jim Bonnefond Other [Clothes By] – Sun Le Sun Photography By [Cover] – Raul Vega Photography By [Group] – Benno Friedman Producer – Eumir Deodato Producer [Associate] – Kool & The Gang Tenor Saxophone – Ronald Bell Trombone – Cliff Adams* Trumpet – Chris Alberts, John Faddis*, Robert Mickens*

The Man est le huitième album studio de Barry White sorti en 1978.

Let the Music Play est le cinquième album auto-produit par le chanteur R & B américain Barry White, enregistré en 1975 et publié en Janvier 1976 sur le label 20th Century .

Revolution of the Mind: Recorded Live at the Apollo, Vol. III est un double album live de James Brown sorti en 1971. Comme son titre l'indique, il est le troisième album de Brown enregistré à l'Apollo Theater, suite Live de l'originale Apollo (1963) et du Live at the Apollo, Volume II (1968). L'album est aussi remarquable que le premier de ses albums live puisqu'il inclus une introduction parlée par son maître des cérémonies de longue date, Danny Ray.

Credits: Arranged By [String & Horn], Keyboards – Lynton Naiff Bass – Alan Turney, Les Hurdle Contractor [Orchestral Coordination] – Isabel Griffiths* Design – Gene Greif, Paula Scher Drums – Graham Jarvis Engineer – Ashley Howe Engineer [Assistant] – Julian Cooper Flute – Ray Warleigh, Stan Sultzman* Guitar – Robert Ahwai Horns, Trumpet – Henry Lowther, Mick Davis* Leader [Strings] – Gavin Wright* Mastered By – John Golden Percussion – Ken Gold, Simon Morton Performer [Ritz] – Kofi Missah, Ruby James, Tony Jackson Photography By [Cover] – Ken Ambrose Producer – Ken Gold Saxophone – Mike Page, Ray Warleigh Trombone – Cliff Hardie, Malcolm Griffiths

Deliver the Word est le sixième album de War, sorti en 1973 sur United Artists Records.

Body Talk est le premier album du groupe britannique de soul-dance Imagination, produit par Steve Jolley and Tony Swain et sorti en 1981.

Thriller est le sixième album studio de l'artiste américain Michael Jackson. Coproduit par Quincy Jones, il sort le 30 novembre 1982 chez Epic Records, à la suite du succès commercial et critique de l'album Off the Wall (1979). Thriller explore des genres similaires à ceux d'Off the Wall, tels le funk, le post-disco, la musique soul, le soft rock, le R&B et la pop. Toutefois, les paroles de Thriller traitent généralement de thèmes plus sombres, comme la paranoïa et le surnaturel. Avec un budget de production de 750 000 dollars, les sessions d'enregistrement se déroulent entre avril et novembre 1982 aux studios Westlake Recording à Los Angeles. Assisté de Quincy Jones, Jackson signe quatre des neuf chansons de Thriller. À la suite de la sortie du premier single de l'album, The Girl Is Mine (en duo avec Paul McCartney), certains chroniqueurs prédisent un succès limité. Mais après la sortie du deuxième single, Billie Jean, l'album se hisse en tête des classements des meilleures ventes dans de nombreux pays. En une seule année, Thriller devient l'album le plus vendu au monde de tous les temps, et le demeure avec des ventes estimées selon les sources entre 51 et 65 millions dans le monde4,5,6,N 1. Sept des neuf chansons de l'album sortent en single et figurent toutes au Billboard Hot 100 (elles sont toutes entrées dans le Top 10). L'album obtient un nouveau record en remportant huit Grammy Awards en 1984, dans trois genres différents : pop, R&B et rock. Avec Thriller, Michael Jackson acquiert un nouveau statut en devenant l'une des plus grandes stars de la fin du xxe siècle. Il lui permet notamment de briser les barrières raciales par l'intermédiaire de ses apparitions sur la chaîne musicale MTV et de ses rencontres avec le Président Ronald Reagan à la Maison-Blanche. L'album est également le premier à utiliser avec succès les clips comme moyen de promotion, ceux de Thriller, Billie Jean et Beat It passent en boucle sur MTV. Thriller est conservé par la Bibliothèque du Congrès par le biais du Registre national des enregistrements (National Recording Registry), ce qui est considéré comme une reconnaissance nationale de sa valeur culturelle. Participants: Brian Bans – claviers, synthétiseur, programmation Michael Boddicker – claviers, synthétiseur Leon 'Ndugu' Chancler – batterie Paulinho Da Costa – percussion David Foster – claviers, synthétiseur Gary Grant – trompette, bugle Eddie Van Halen – guitare (Beat It) Jerry Hey – trompette, bugle Michael Jackson – coproducteur, chant, arrangements, batterie Paul Jackson – guitare Louis Johnson – guitare basse Quincy Jones – producteur, arrangements Steve Lukather – guitare, guitare basse Anthony Marinelli – programmation synthétiseur Paul McCartney – chant (The Girl Is Mine) David Paich – claviers, synthétiseur, programmation Dean Parks – guitare Greg Phillinganes – rhodes, claviers, synthétiseur, programmation Jeff Porcaro – batterie, cor et arrangements d'instruments à cordes Steve Porcaro – auteur, claviers, synthétiseur, programmation Vincent Price – voix (Thriller) Bill Reichenbach – trombone Bruce Swedien – ingénieur du son, mixage Rod Temperton – auteur, claviers, synthétiseurs David Williams – guitare Larry Williams – saxophone et flûte Bill Wolfer – claviers, synthétiseurs La Toya Jackson – chœurs (PYT) Janet Jackson – chœurs (PYT) Julia Waters – chœurs (Wanna Be Startin' Somethin') Maxime Waters – chœurs (Wanna Be Startin' Somethin') Oren Waters – chœurs (Wanna Be Startin' Somethin') James Ingram – auteur, chœurs (Wanna Be Startin' Somethin') Bunny Hull – chœurs (Wanna Be Startin' Somethin') Becky Lopez – chœurs (Wanna Be Startin' Somethin')

Victory est le nom de l'album sorti par les Jacksons en 1984 chez CBS/Epic Records. Il est le seul album où figurent les six frères Jackson, Jermaine Jackson libre de tout contrat chez Motown est revenu dans le groupe après le grand show Motown 25 au printemps 1983 et participa au titre Torture en duo avec Michael (prévu initialement avec Jackie), faisant une improvisation avec Michael sur Wait et les chœurs de One More Chance et de The Hurt. L'album s'est vendu à plus de sept millions d'exemplaires à travers le monde. La vente pour la première semaine de l'album a atteint 185 000 exemplaires. Le 30 octobre 1984, l'album a été certifié par 2 fois disque de platine pour ses ventes à plus de 2 millions d'exemplaires aux États-Unis. Des tensions sont apparues pendant l'enregistrement de l'album entre les frères Jackson et cela a donné un disque fait d'individualité dans lequel chacun des frères a placé un titre : Be Not Always pour Michael Jackson, Body pour Marlon, One More Chance pour Randy, We Can Change the World pour Tito, et Wait pour Jackie. Un album qui marqua la fin de la carrière de Michael avec les Jacksons, il signifia son retrait du groupe lors du dernier concert du groupe le 9 décembre 1984 à Los Angeles. L'une des chansons phare de l'album est State of Shock, duo entre Michael Jackson et le leader des Rolling Stones Mick Jagger qui a figuré à la troisième place des charts américains. À l'origine le duo était prevu entre Michael et Freddie Mercury le chanteur du groupe rock Queen, il existe une démo de ce duo inédit datée de 1983. Deux autres singles sont sortis : le hit Torture classé n°14 au Top 50 français à l'automne-hiver 1984 et le rythmé Body qui a été un moindre succès au printemps 1985. De plus, Michael et Jermaine ne participèrent pas aux deux clips Torture et Body lors de la promotion de l'album.

Bad Girls Consciente de son aspect très marqueté, elle tentera de le faire voler en éclats en 1979 avec le double album Bad Girls qui élimine enfin le « syndrome Love to Love You ». Cet album marque un intéressant renouveau musical tout en gardant la même réalisation artistique. Bad Girls est surtout le premier album de Summer réalisé avec soin ; ses prédécesseurs avaient en effet été réalisés plus hâtivement. Elle classe deux très bons simples no 1 coup sur coup, Hot Stuff et Bad Girls, qui se vendront chacun à plus de deux millions d'exemplaires aux États-Unis. Hot Stuff, sera no 1 pop pendant trois semaines et no 3 R'n'B tandis que Bad Girls, lancée avant que Hot Stuff n'atteigne le no 1 pop, sera no 1 pop pendant cinq semaines et no 1 R'n'B une semaine. Les deux chansons, mixées en continu pour les discothèques, seront ensemble no 1 disco pendant sept semaines le 26 mai. Hot Stuff est d'ailleurs le simple le plus vendu de Summer, suivi de près par Bad Girls. Neil Bogart, patron de Casablanca, lui avait cependant déconseillé de lancer Hot Stuff, trop rock, et avait proposé à Summer de le laisser à Cher, chanteuse du même label, qui sortait d'un no 2 disco (no 8 pop), Take Me Home (Donna Summer garda Hot Stuff mais Cher en enregistra un clone réalisé par Moroder pour le film Foxes : Bad Love). Puis suivra l'excellent Dim All the Lights, no 2 vendu à un million d'exemplaires. L'album Bad Girls est de tous le moins monolithique et comme le reconnaît Giorgio Moroder, son travail de réalisateur artistique le plus intéressant. On est toujours dans le « concept album » mais il faut avouer que l’idée directrice, les prostituées, n’est guère suivie de manière constante tout au long de l’album. Ce sera un album de platine. À côté des gros tubes disco superbement efficaces (avec une pointe de rock pour Hot Stuff), on trouve des slows joliment agencés (ceux de la troisième face dont There Will Always Be a You qui servira à de nombreuses faces 2 de simples), et des titres synthétiques au rythme hypnotique, héritiers d'I Feel Love sans en être des clones (ceux de la quatrième face dont Sunset People, simple suivant et sa face B Our Love). L'album contient aussi My Baby Understands où Donna Summer fait ses premières armes en production sur un de ses albums avec J. Köppers, sous la houlette de Moroder/Bellotte. Une curiosité : le slow All Through the Night, co-écrit par Summer et Bruce Roberts, se retrouvera sur deux des trois albums du chanteur (Cool Fool en 1980 et Intimacy en 1995) Il existe aussi un simple édité au Mexique avec la version longue de Dim All the Lights (A media luz) en face 1 et celle de Heaven Knows (El cielo sabe) en face 2. Leurs durées sont repectivement de 7:10 et 8:20. Au Brésil le 45 tours de Hot Stuff a Heaven Knows en face 2. Au Japon la face 2 est Bad Girls. Aux Pays-Bas McArthur Park est réédité en 45 tours avec Hot Stuff en face 2. Bad Girls est éditée avec On My Honor en face 2 mais en Angleterre les deux faces sont inversées –un autre simple anglais, promotionnel celui-ci est On My Honor avec en face 2 With Your Love». Au Canada la face 2 de Bad Girls est Hot Stuff. En Espagne Our Love est édité en 45 tours avec Sunset People en face 2. En 2003 l’album est réédité en double cd avec la maquette de Bad Girls et neuf versions longues de I Feel Love à On the Radio.

Boney M. est un groupe vocal allemand d'anglophones des Caraïbes de disco-pop, créé et dirigé par le producteur allemand Frank Farian et qui fut actif de 1976 à 1985. Les quatre membres originels du groupe sont Bobby Farrell (qui est décédé le 30 décembre 2010 à Saint-Pétersbourg en Russie), Liz Mitchell, Maizie Williams, et Marcia Barrett. Reggie Tsiboe a chanté avec eux de 1982 à 1985, sa photo n'apparaissant toutefois pas sur le site officiel. "...En décembre 1974, le chanteur-compositeur allemand Frank Farian (de son vrai nom Franz Reuther), qui travaille pour le label allemand Hansa Records, enregistre en studio, avec des musiciens de séance, Baby Do You Wanna Bump?, dont il fait à la fois la voix grave et les voix de fausset. Mis sur le marché par Farian qui a pris le pseudonyme de Boney M., le titre connaît un grand succès aux Pays-Bas et en Belgique. Il forme un groupe à la va-vite pour en assurer la promotion dans les boîtes de nuit et à la télévision. Il engage des choristes antillaises : Maizie Williams, originaire de l'île de Montserrat, Sheyla Bonnick, chanteuse jamaïcaine, et un danseur du nom de « Mike » (dans les premiers temps). En 1975, Sheila Bonnick est remplacée par Claudja Barry (qui avait succédé à Donna Summer dans la comédie musicale Hair) et le dénommé Mike par Bobby Farrell, danseur exotique originaire de l'île d'Aruba dans les Petites Antilles. La chanteuse jamaïcaine Marcia Barrett intègre à son tour le groupe. En 1976, Liz Mitchell, ancien membre des Humphries Singers, remplace Claudja Barry, démissionnaire, lassée de ne faire que de la synchronisation labiale. Le groupe est désormais constitué de Liz Mitchell, Maizie Williams, Marcia Barrett, et de Bobby Farrell. Si officiellement Bobby Farrell est le danseur et chanteur du groupe, la voix rocailleuse est celle de Frank Farian lui-même, modifiée par l'électronique et enregistrée sur bande magnétique. De même, Maizie Williams n'a jamais chanté de toute sa carrière au sein du groupe. La plupart des chansons sont chantées par Liz Mitchell et Frank Farian, Marcia Barrett faisant les chœurs, et quelques chansons en solo (notamment Belfast). L'image de Boney M., trois filles prosternées aux pieds d'un maître vaudou aux allures de proxénète, a sans doute contribué au succès du groupe, mais c'est surtout la qualité des mélodies et des instrumentations, très travaillées, qui expliquent le triomphe phénoménal que remporta la formation en Europe avec les titres Daddy Cool1 (1976), Sunny (1977) ou Ma Baker (1977) ainsi que leur version du classique reggae des Melodians, Rivers of Babylon (1978), troisième meilleure vente de 45 tours de toute l'histoire des classements britanniques..."

As One est le seizième album studio par le groupe de funk Kool and the Gang , sorti en 1982. L'album n'a donné aucun singles n ° 1, mais la chanson "Let's go Dancin " atteindra le top dix , culminant à # 7 sur l'U.S. R&B chart et # 6 sur le UK Singles Chart . Personnel: Guitare basse, choeurs - Robert "Kool" Bell a Drums, Backing Vocals - George Brown Guitare - Charles Smith Saxophone ténor, OB-X synthétiseur , choeurs - Ronald de Bell Claviers, saxophone alto - Curtis Williams Plomb et choeurs - James "JT" Taylor Percussion - Jimmy Maelen Claviers - Eumir Deodato Saxophone alto - Steve Greenfield Trombone, choeurs - Clifford Adams Trompette, choeurs - Michael Ray, Robert Mickens Handclaps - Dennis Thomas Strings - Kermit Moore Production: Ingénieur - Cliff Hodsdon, Jim Bonnefond ingénieurs adjoints - Barbara Ivone, Nelson Ayres Mixé par - Jim Bonnefond, Gabe Vigorito, Eumir Deodato Masterisé par - Jose Rodriguez, Gabe Vigorito Producteur - Eumir Deodato Co-producteur - Kool & The Gang

In the Heart est le dix-septième album studio par le groupe de funk Kool & the Gang, sorti en 1983. L'album fut un succès et un retour aux Billboard. La chanson d'amour à succès, " Joanna ", a grimpé au numéro deux dans les charts aux États-Unis et au Royaume-Uni, et numéro un sur le US R & B chart. «Straight Ahead» fut un top 20 dès son entrée dans le Royaume-Uni, tandis que "Tonight" fit la même chose aux États-Unis. Personnel: Bass - Robert "Kool" Bell a Batteries - George Brown Guitare - Charles Smith saxophone ténor; OB-X synthétiseur ; choeurs - Ronald "Khalis« Bell Plomb et choeurs - James "JT" Taylor Trombone; choeurs - Clifford Adams Claviers; saxophone alto; Memory Moog , Mini Moog , et OB-X synthétiseurs, choeurs - Curtis "Fitz" Williams Saxophone alto - Dennis "DT" Thomas Trompette - Michael Ray, Robert "de Spike" Mickens Cornes disposées par - Kool & The Gang Cordes organisées par - Greg Porée Violon - Gene Orloff Entrepreneur (Strings) - Joe Malin Ingénieur en chef - Jim Bonnefond Ingénieurs - Cliff Hodsdon, Nelson Ayres Mixed By - Gabe Vigorito, Ronald Bell, Jim Bonnefond Masterisé par - Jose Rodriguez Producteur - Jim Bonnefond, Ronald Bell, Kool & The Gang

All in a Night's Work est le neuvième album studio du groupe funk et disco KC et du Sunshine Band. L'album a été produit par Harry Wayne Casey et Richard Finch et sorti en août 1982 sur l'étiquette d'Epic. All in a Night's Work a suscité un bref retour au succès pour le groupe, dont cette chanson "Give It Up", qui est devenue un hit numéro 1 au Royaume-Uni et en Irlande et a atteint le numéro 18 aux Pop Charts des États-Unis. Personnel: Harry Wayne Casey – keyboards, vocal Steven Gordon – guitar James Magnole – guitar Richard Finch – bass guitar, drum, percussion Gary King – bass, background vocals Fermin Goytisolo – percussion Jimmy "Bo" Horne – percussion Ken Wadenpfuhl – french horn Bill Reichenbach Jr. – trombone Christine Nield – flute Neil Bonsanti – oboe Whit Sidener – bass clarinet Gary Herbig – saxophone Stacey Berkley – harp Deborah Carter – background vocals Beverly Champion – background vocals Denise King – background vocals KC and the Sunshine Band est fondé en 1973 par le bassiste Richard Finch et le claviériste Harry Wayne Casey, dit KC. Ils sont tous deux employés par TK Records (en), un label discographique de Miami. Finch et Casey composent également pour George McCrae, dont le titre Rock Your Baby, sorti en single en 1974, devient leur premier hit. Il se vend à plus de 10 millions d'exemplaires. Le guitariste Jerome Smith, qui a participé à l'enregistrement de la démo de Rock Your Baby, rejoint le groupe en compagnie de son frère, le trompettiste Ronnie Smith, et d'un ami d'enfance, le batteur Robert Johnson. KC and the Sunshine Band compte neuf musiciens. La même année, KC and the Sunshine Band connaît le succès grâce à Queen of Clubs, qui se classe dans le Top 10 au Royaume-Uni. Leurs titres Get Down Tonight (en) et That's the Way (I Like It) atteignent la 1re place du Billboard Hot 100 en 1975. Ils sont suivis de (Shake, Shake, Shake) Shake Your Booty, qui parvient au sommet des charts américains l'année suivante. En 1977, KC and the Sunshine Band enregistre les tubes disco Keep It Comin' Love (en) et I'm Your Boogie Man (en). Boogie Shoes (en) figure sur la bande originale du film La Fièvre du samedi soir (Saturday Night Fever), sorti en 1978. Le guitariste Jerome Smith est forcé de quitter le groupe en 1979 en raison de sa consommation d'alcool et de drogues. Le Sunshine Band est recruté par Epic Records en 1980. La même année, leur single Please Don't Go se classe en tête du Hot 100. Casey est victime d'un accident de la route en 1982 et passe plusieurs mois en convalescence. Ils connaissent un nouveau succès avec Give It Up, morceau extrait de l'album All in a Night's Work, qui se classe dans le Top 20. KC and the Sunshine Band se sépare au milieu des années 1980. Au cours des années 1990, le groupe se reforme et part en tournée. Leurs chansons sont reprises par d'autres artistes et sont utilisées dans des spots publicitaires. Plusieurs compilations de leurs plus grands succès sont commercialisées.

Part 3 est le quatrième album studio du groupe funk et disco KC and the Sunshine Band. L'album a été produit par Harry Wayne Casey et Richard Finch et est sorti en octobre 1976 sur le label TK. Part 3 contient trois des plus grands succès du groupe, "(Shake, Shake, Shake) Shake Your Booty", "I'm Your Boogie Man" et "Keep It Comin' Love". Les deux premiers ont atteint la première place du Billboard Hot 100 tandis que le troisième a atteint la deuxième place. Deux autres singles, "I Like to Do It" et "Wrap Your Arms Around Me" ont rencontré un succès modéré dans les charts. Record World a dit de « I Like to Do It » que « Ce que ce groupe aime faire, c'est grimper dans les classements et tant qu'ils continueront à produire du matériel comme celui-ci, ils devraient rester au sommet. » L'album a été remasterisé en 1994 sous le titre « Part 3…And More » avec des titres bonus supplémentaires de Rhino. L'album a été remasterisé et réédité avec des titres bonus en 2012 par Big Break Records. Personnel: Harry Wayne Casey – keyboards, vocal Jerome Smith – guitar Richard Finch – bass guitar, drums, percussion Robert Johnson – drums Fermin Goytisolo – percussion Oliver C. Brown – percussion Ken Faulk – trumpet Vinnie Tanno – trumpet Mike Lewis – tenor saxophone Whit Sidener – baritone saxophone Beverly Champion – background vocals Margaret Reynolds – background vocals Jeanette Williams – background vocals